Harrassée par l’encartonnage intensif des jours pré-déménagement, intoxiquée par les effluves acides des marqueurs et agacée par ce fichu rouleau de scotch qui adoooooore mes mains délicates, je décidai de m’octroyer un répit urbain. Rien de tel qu’une gambade dans les rues tant que les Bordelais n’y sont pas, puisque ce sont les vacances. Sauf que j’avais négligé un fait de la plus haute importance ; ça :
Quant à cela s’ajoute la foule du premier jour (rien à voir avec celle de samedi, estampillée “courage, fuyons !”), dense, transpirante, sonore et su
rtout marchant inévitablement à contresens par rapport à moi (phénomène physique que je ne comprends pas malgré des années d’expérience), je préfère un retrait sûr vers ma base, où après cette récré bloguesque, je vais reprendre ma partie de saute-carton là où je l’avais laissée.