A San Francisco, un tueur en série aussi méthodique qu'imprévisible concentre sa haine sur la communauté des SDF. Malgré sa méfiance envers la police, une sans-abri décide d'aller confier ses craintes à l'agent Lindsay et l'implore d'enquêter sur ces meurtres que la brigade centrale semble vouloir ignorer. Lindsay prend vite cette histoire très au sérieux, mais peut-être serait-elle mieux avisée de ne pas trop mettre son nez dans les affaires de certains collègues. Yuki, de son côté, est aux prises avec un cas de viol d'un genre inédit qui va soulever bien des débats dans l'opinion publique. Un nouvel opus du Woman's Murder Club, rythmé et passionnant. James Patterson continue de nous surprendre et de nous donner envie de lire.
Comme tous les autres tomes, j'ai dévoré 17ème suspect. Le rythme est trépidant et mon attachement aux personnages du Women's Murder Club ne faiblit pas..
Des chapitres courts, très courts donnent un rythme effréné au récit. Des personnages dynamiques, très attachants, bienveillants et sans cesse en quête de justice, qui, bien que travaillant dans des secteurs différents vont être amenés à collaborer les uns avec les autres. J'ai trouvé ça très rafraîchissant et extrêmement agréable à lire.L'intrigue est extrêmement bien menée, les rebondissement et le suspens sont au rendez vous. Aucun temps mort pour souffler un peu, il nous faut continuer afin de connaître la fin au plus vite.Pour rappel, cette collection a fait l’objet d’une adaptation à la télévision sous forme de séries.
En bref : Livre intéressant et très agréable à lire. Nous retrouvons le Women Murder Club et plus particulièrement Lindsay, enquêtrice, qui doit enquêter sur une série de meurtres à l'encontre des sans-abris, tandis que Yuki est aux prises avec un cas de viol inhabituel. L'intrigue est bien menée, les personnages attachants, dynamiques et bienveillants, les rebondissement et le suspens sont au rendez-vous : que demander de plus pour faire un excellent roman policier ?NOTE : 8,5/10Suivez toute l'actualité des éditions JC Lattès sur leur page Facebook