On se frotte à une existence qui pique, on en ressent les limites et les aspirations. Catherine Poulain écrit à l’os, sans gras, c’est pourquoi elle n’a pas besoin d’ajouter des effets de manche pour nous toucher.
On se frotte à une existence qui pique, on en ressent les limites et les aspirations. Catherine Poulain écrit à l’os, sans gras, c’est pourquoi elle n’a pas besoin d’ajouter des effets de manche pour nous toucher.