Le réveil a sonné. Six heures neuf. Ses doigts ont palpé l'obscurité puis éteint la voix qui disait " PMU on joue comme on aime ".
Quand il a basculé de la position allongée à la position assise, ses pieds ont tapé dans une substance poilue et vaguement huileuse. Son esprit embrumé par les somnifères avalés la veille a fait le reste. Il a pensé à un rat arrivé là avec les inondations des derniers jours. Aussitôt il a hurlé. Paniquée, sa femme a allumé. " Tu es fou ou quoi ? Arrête de tyranniser ce pauvre chat ! "