Un chauffeur de taxi, puisqu’il n’y avait plus de RER s’arrêtant à la gare où je descends habituellement, et que rien n’indiquait où trouver un bus de remplacement, et qu’il était très tard, m’a reconduit chez moi. La route n’était pas longue et il voulait me faire écouter les chansons qui lui plaisaient. Une première, je la connaissais ; il en chercha une qu’il me ferait découvrir. Et il trouva. Nous avons écouté la fin, à l’arrêt, avant que je descende.
J’en retiens pour vous aujourd’hui trois couplets. Comme nous l’avons déjà fait d’autres fois, je ne vous en donne que les mots qui riment deux à deux. À vous de compléter ces quatrains sans chercher à savoir qui les a écrits ni qui les a chantés.
Vous n’êtes pas obligés de conserver la ponctuation.
………………………………………… sauvages.
…………………………………………….. monts,
………………………………………. esclavages.
………………………………………… poumons.
(…)
……………………………..……… Qu’importe !
………………………………..………… profond.
……………………………………………… porte
……………………………………………… vont.
(…)
………………………………………… édifiante !
……………………………………………. qu’eux.
…………………………………………….. fiente.
…………………………………………… gueux.
Et merci de poster vos trois quatrains dans les commentaires ci-dessous.