L'impunité totale du cyber-harceleur raciste haineux Le Lay n'étonne donc pas que moi...
En septembre 2017, j'avais évoqué l'histoire de Julie Hainaut, une journaliste qui avait eu pour seul tort de s'intéresser à l'ambiance un peu trop coloniale d'un bar Lyonnais, Première Plantation, ce qui l'avait immédiatement désignée comme l'une des victimes expiatoires des névroses racistes obsessionnelles du nazi Le Lay, selon des modalités d'un registre plus qu' immonde auxquelles nous a tristement habitués ce minable nazillon là depuis, contextualisées ici :
... Depuis, cette journaliste n'est plus que l'un des trop nombreux noms sur la longue liste des personnes harcelées par la meute des bas de plafond manipulés par ce blogueur vomitif pour un oui ou plutôt un NON ferme et définitif à leur idéologie dégueulasse, à rejeter absolument.
L'un des sympathisants de ce blogueur raciste s'est fait pincer, lui qui se croyait autorisé en toute impunité et ivre de la toute puissance conférée par son (tout relatif) anonymat à déverser sa haine raciste et suprémaciste sur la page Facebook d'un des sites de Boris Le Lay. C'est donc lui qui a pris pour tous les autres, et surtout pour un cyber-harceleur en bande organisée qui n'assumera quant à lui jamais ses responsabilités...
Ce qui me frappe le plus, tout comme cette journaliste qui est encore aujourd'hui menacée par la fachosphère, c'est l'impunité totale dont jouit cette ordure qui tire les ficelles de ce cyber-harcèlement. Un lâche qui fait le matamore derrière un écran mais qui n'assume jamais ses responsabilités et en laisse d'autres, plus vulnérables visiblement, les assumer pour lui. Et je suis amplement d'accord avec la journaliste lorsqu'elle déplore que " le cyberharcèlement ne soit pas pris au sérieux ".
Les politiques n'ont en effet toujours pas compris l'ampleur de ce phénomène qui procède selon moi d'une question de santé publique, compte-tenu de la place importante prise par internet dans la vie quotidienne de beaucoup de gens, pour le meilleur, mais aussi pour le pire, comme ici.
Car avec Le Lay, il est toujours certain.