Néanmoins, et c'est très bien, le Salon met l'accent sur les pays producteurs, par exemple Diogo Vaz, Marou, le Guatemala, avec un Grand Cru Alta Verapaz chez Ethiquable (stand A 85. Allez-y, leur éventail de grands crus est remarquable) sur les femmes aussi, qui ne sont que quatre dans le monde à être "chocolatière" (par exemple une japonaise qui tient boutique à Bourg-la-Reine et Montrouge. Ça s’appelle Mitsuha et la délicatesse de ses associations va me mener par le bout des papilles).
J’ai été séduite par les emballages artistiques de la marque Le chocolat des Français. Comme quoi il y a sur le Salon autant de fond que de forme.
Et puis, dernier grain de sel sur la tablette, j’ai été assaillie par la toujours pétillante Zélia … et quelques autres connaissances avec qui les discussions -à elles seules- auraient suffi à embellir la soirée.