On se souviendra comme entraîneur ton absence de finale de la Coupe Stanley, comme entraîneur des Bruins, malgré les présences de Bobby Orr et Phil Esposito sous tes ordres, deux des meilleurs joueurs que la Ligue a vu évoluer dans son circuit.
Lâcheté renouvelée quand tu as fait du gardien Hardy Astrom, un joueur d'origine suédoise, ta tête de turc dans le vestiaire surtout parce qu'il était Suédois.
On se rappellera que tu critiquera le côté autochtone de Chris Simon, prétextant que son éducation dans sa communauté ne devrait pas expliquer son tempérament sur la glace. Et que Ted Nolan ne se trouvant pas un job dans la LNH ne rencontre aucun racisme.
On se rappellera de ta naïveté quand tu répètes année après année que la LNH ne trouve AUCUN joueur de la LNH prenant des drogues ou des substances interdites dans ses tests inopinés.
On se rappellera que tu qualifiais la gauche et ses journalistes comme des Pinkos de la gauche. que tu le répétais ad nauseam. Et que tu as dis que Rob Ford serait le meilleur maire que Toronto n'aura jamais eu.
On se souviendra que tu aies qualifié les anciens batailleurs Stu Grimson, Chris Nilan et Jim Thompson, qui ont tous connu de sérieux problèmes cérébraux post-carrière dans la LNH, de vomi et d'hypocrites pour avoir parlé contre leur ancien style de vie. On se souviendra aussi, parce que nous sommes honnêtes, que tu t'es excusé pour une unique fois, une semaine plus tard.
On se souviendra que quand le Canada te votera comme l'un des meilleurs représentant canadiens ever, on aura eu un autre argument massue en faveur de la souveraineté.
On se souviendra de tes plaintes contre les célébrations d'après but d'Alexander Ovevhkin, qui, si il avait été originaire de Thunder Bay, seraient passées inaperçues sur ton radar raciste.
Radar perpétuellement au travail puisque c'est lui qui mettra un terme au poison que tu es pour nos valeurs canadiennes avec tes propos toujours plus ignorants.
Tu étais toi-même cancer de notre pays.
Ta race de minable, nous, on en veux pas.
On se souviendra que tu n'étais pas nous. Jamais nous.
Et que le jour du souvenir, on a tiré la chasse avec toi, une fois pour toute.
Enfin!