Mais plus il buvait, plus il devenait difficile de rester dans de tels endroits, et il était contraint de partir, en proie aux affres d’un enfant qui pleure, ou d’un chat perdu, ému parfois jusque aux larmes par la beauté d’une fleur ou d’un arbre couvert de bourgeons."
Hubert Selby JR - Chanson de la neige silencieuse
(trad.Marc Gibot / Editions L'olivier)