Well well…
Bonjour mes chers Nautes. J’espère que vous êtes d’humeur princesse ajd, car je vais vous présenter ma review de la suite d’un film pas de princesse, qui est devenu un chouïa trop princesse à mon gout. XD
Allez, on parle Maleficent 2, et je ne spoile rien!
Synopsis
5 ans après son couronnement en tant que Reine de la Lande, Aurore souhaite épouser Phillip. Maléfique s’oppose à l’union des deux jeunes gens, particulièrement après qu’elle ait rencontré les parents du Prince…
Well, well…
Bon, voilà voilà. XD Vous savez pertinemment que je suis très loin d’être appréciative des films de princesse, mais vous savez aussi que, quand le postulat est différent, il y a de grandes chances que cela me plaise. Voir The Huntsman pour en avoir la preuve.
Donc, en 2014, nous avons eu droit à un film qui, au lieu de prendre le parti d’Aurore et de nous montrez la Maléfique la plus…maléfique que possible, a décidé de nous présenter la fée, la marraine, aimante et torturée.
J’étais donc ravie de retrouver cet univers qui m’avait surprise dans le bon sens. D’autant que j’allais y découvrir d’autres personnages, et y retrouver mon coup de cœur absolu du premier opus: Diaval. Mais je ne suis que subjectivité quand il s’agit de mon corbeau chéri.
Mistress of Evil réussit en tout cas à nous ramener dans l’histoire comme s’il ne s’était écoulé que quelques jours. Les effets spéciaux sont beaucoup plus beaux que dans le premier film, surtout en ce qui concerne ces fichus écrans verts.
Sans oublier que Maléfique elle-même est magnifique, sublime même, et que les maquilleurs et costumiers s’en sont donné à cœur joie sur ce film-ci!
Rose, non, bleu!
Maaaaaais… Mais mais mais.
Ce qui m’avait tant plu dans le premier film, à savoir l’absence quasi systématique de la Princesse Aurore cucul à la con, ici, ben…plouf? Aurore est trop présente, trop naïve, trop rose, trop pastel, trop JUSTE CHIANTE AU POSSIBLE, et ça m’a gâché le plaisir.
Et, évidemment, Disney n’a pas trop fouillé le scénario, il faut l’avouer, en jouant sur les tropes attendus, vus et revus, sans aucune surprise d’aucun genre. Ça fait juste méchamment plouf, donc.
Car oui, je me suis franchement ennuyée pendant les deux heures du film. Ennuyée plus longtemps que je ne me suis amusée, en tout cas…
Vu qu’en plus, Diaval est moins présent (bien qu’à chaque fois qu’il est là, tout va bien), si toujours aussi choubidou et beau gosse (pardon, beau corbeau).
Angie, Elle, Sam, Michelle…
Casting?
Toujours présents au casting, on compte Angelina Jolie, sublime en Maleficent cette fois dotée de magnifiques ailes; Elle Fanning qui a grandi en même temps qu’Aurora (même si elle me tend toujours autant); Imelda Staunton, Juno Temple et Lesley Manville qui incarnent toujours les trois insupportables fées; et bien sûr, Sam Riley qui m’a rendu mon Diaval bébé d’amour.
(Comment ça c’est chelou?
Parmi les nouvelles têtes, je citerai Harris Dickinson qui reprend le rôle de Phillip après Brenton Thwaites (et merci pour ça); Michelle Pfeiffer merveilleuse en Reine Ingrith; David Gyazi en chevalier; ou encore Chiwetel Ejiofor et Ed Skrein dont je ne révèlerai pas les rôles.
Bref, en conclusion, Maleficent 2 a eu le malheur de refaire appel aux travers des films de princesse cucul au possible, me perdant dans le même temps. Mais il reste très beau à voir.
Note: 5,5/10 (scénario: 4/10 – jeu: 7/10 (pas assez de Diaval, merde!