Suite de ce petit panorama automnal de la littérature vinique, qui n'en finit pas de tomber comme les feuilles mortes que l'on ramasse maintenant à la souffleuse, ce qui fait un boucan d'enfer et rend la chanson de Prévert beaucoup moins poétique. Deux d'entre eux sont déjà dans les bacs, tandis que deux autres sont encore accrochés aux branches de leurs éditeurs respectifs, même s'ils ne devraient plus tarder à se décrocher et virevolter de leurs propres ailes.