Autre son de cloche coté bourguignon, "je suis content pour mes joueurs, car ils sont récompensés de leurs efforts. Nous avons posé des problèmes au PSG et nous avons aussi su faire le dos rond. Je suis sûr des ressources mentales de mes joueurs. Nous avons su avoir les vertus pour égaliser juste avant la mi-temps" conclu Stéphane Jobard. Avec neuf points pris sur neuf possibles, une victoire exceptionnelle (3 - 0) face au Real Madrid de Zinedine Zidane, une correction anthologique (5 - 0) sur les terres flamandes de Bruges, et une place de numéro un du groupe quasi-certaine, le Paris Saint-Germain est impérial en ligue des champions. Un constat contrasté par les résultats en championnat, puisque ces mêmes Parisiens ont déjà perdu trois matches en douze rencontres. Une première depuis neuf ans. Une irrégularité en ligue 1 qui pose de multiples questions. En effet, si le PSG s’incline, il le fait face au plus modeste de la compétition. Le diagnostique est donné, le club de la capitale souffre d’un complexe de suffisance. Contre les petits poucets, les hommes de Thomas Tuchel se reposent sur leurs lauriers. Et sans l'intensité habituelle que l’équipe met dans son pressing, et avec un manque d'agressivité flagrant, ils se font bousculés même par les plus mal classés du tournoi.Face à Dijon, la machine parisienne s’est enrayé faisant preuve à nouveau de facilité. "Nous avons été trop passifs en première mi-temps. On a manqué de précision et de rythme. Défensivement, mais aussi offensivement, nous n'avons pas joué ensemble. Nous n'avons pas appliqué notre plan de jeu," a expliqué Thomas Tuchel. Ce dernier est également pointé du doigt, il n’échappe pas non plus aux critiques. Ses choix sont très discutables. L’équipe, en fin de match contre le DFCO, s’est complètement collapsée. Et c’est à la responsabilité du coach que de mettre de la cohérence dans le jeu de son collectif et à force de compter sur la polyvalence de certains joueurs, l’entraîneur parisien met parfois son groupe en difficulté. Malgré une récente prolongation jusqu’en 2021, l’entraîneur allemand n’est pas installé dans un fauteuil confortable au PSG. Et il va devoir faire ses preuves et prouver à la direction qu’il est bel et bien l’homme de la situation. C'est un bien triste record que le Collectif féministe #NousToutes pour dénoncer les féminicides a annoncé ce week-end. 2019 aura vu plus de femmes tomber sous les coups de leurs conjoints que 2018. Un record dont évidemment tous nous se serions...
Battu déjà à deux reprises depuis le début de saison en ligue 1, contre Rennes (2 - 1) et par Reims au parc des princes (2 - 0), les hommes de Thomas Tuchel (entraîneur parisien), se sont de nouveau inclinés ce vendredi 1er novembre face à lanterne rouge du championnat, le Dijon football Côte-d’Or (DFCO). Malgré les blessures de Neymar, Verratti et autre Thiago Silva, Le PSG avait pourtant bien entamé sa rencontre en ouvrant le score à la 19e minute suite à un éclaire de génie signé Kyllian Mbappé. Mais c’est sans compter l’abnégation des Dijonnais, qui, après ce but ne se sont pas laissés abattre et ont même pressés jusqu’à une égalisation méritée de Chouiar dans le temps additionnel de la première mi-temps. Dès le retour des vestiaires, les joueurs de Stéphane Jobard (entraîneur dijonnais) se sont offert le but de la victoire, grâce à un petit bijou de la nouvelle recrue Cadiz, un slalome en pleine défense parisienne. "On n’a jamais contrôlé le match, on n’a jamais joué avec la précision, la vitesse et la mentalité qui sont nécessaires. Aujourd’hui, on n’a pas mérité, on n’a pas joué ensemble", regrette Thomas Tuchel.
Autre son de cloche coté bourguignon, "je suis content pour mes joueurs, car ils sont récompensés de leurs efforts. Nous avons posé des problèmes au PSG et nous avons aussi su faire le dos rond. Je suis sûr des ressources mentales de mes joueurs. Nous avons su avoir les vertus pour égaliser juste avant la mi-temps" conclu Stéphane Jobard. Avec neuf points pris sur neuf possibles, une victoire exceptionnelle (3 - 0) face au Real Madrid de Zinedine Zidane, une correction anthologique (5 - 0) sur les terres flamandes de Bruges, et une place de numéro un du groupe quasi-certaine, le Paris Saint-Germain est impérial en ligue des champions. Un constat contrasté par les résultats en championnat, puisque ces mêmes Parisiens ont déjà perdu trois matches en douze rencontres. Une première depuis neuf ans. Une irrégularité en ligue 1 qui pose de multiples questions. En effet, si le PSG s’incline, il le fait face au plus modeste de la compétition. Le diagnostique est donné, le club de la capitale souffre d’un complexe de suffisance. Contre les petits poucets, les hommes de Thomas Tuchel se reposent sur leurs lauriers. Et sans l'intensité habituelle que l’équipe met dans son pressing, et avec un manque d'agressivité flagrant, ils se font bousculés même par les plus mal classés du tournoi.Face à Dijon, la machine parisienne s’est enrayé faisant preuve à nouveau de facilité. "Nous avons été trop passifs en première mi-temps. On a manqué de précision et de rythme. Défensivement, mais aussi offensivement, nous n'avons pas joué ensemble. Nous n'avons pas appliqué notre plan de jeu," a expliqué Thomas Tuchel. Ce dernier est également pointé du doigt, il n’échappe pas non plus aux critiques. Ses choix sont très discutables. L’équipe, en fin de match contre le DFCO, s’est complètement collapsée. Et c’est à la responsabilité du coach que de mettre de la cohérence dans le jeu de son collectif et à force de compter sur la polyvalence de certains joueurs, l’entraîneur parisien met parfois son groupe en difficulté. Malgré une récente prolongation jusqu’en 2021, l’entraîneur allemand n’est pas installé dans un fauteuil confortable au PSG. Et il va devoir faire ses preuves et prouver à la direction qu’il est bel et bien l’homme de la situation. C'est un bien triste record que le Collectif féministe #NousToutes pour dénoncer les féminicides a annoncé ce week-end. 2019 aura vu plus de femmes tomber sous les coups de leurs conjoints que 2018. Un record dont évidemment tous nous se serions...
Autre son de cloche coté bourguignon, "je suis content pour mes joueurs, car ils sont récompensés de leurs efforts. Nous avons posé des problèmes au PSG et nous avons aussi su faire le dos rond. Je suis sûr des ressources mentales de mes joueurs. Nous avons su avoir les vertus pour égaliser juste avant la mi-temps" conclu Stéphane Jobard. Avec neuf points pris sur neuf possibles, une victoire exceptionnelle (3 - 0) face au Real Madrid de Zinedine Zidane, une correction anthologique (5 - 0) sur les terres flamandes de Bruges, et une place de numéro un du groupe quasi-certaine, le Paris Saint-Germain est impérial en ligue des champions. Un constat contrasté par les résultats en championnat, puisque ces mêmes Parisiens ont déjà perdu trois matches en douze rencontres. Une première depuis neuf ans. Une irrégularité en ligue 1 qui pose de multiples questions. En effet, si le PSG s’incline, il le fait face au plus modeste de la compétition. Le diagnostique est donné, le club de la capitale souffre d’un complexe de suffisance. Contre les petits poucets, les hommes de Thomas Tuchel se reposent sur leurs lauriers. Et sans l'intensité habituelle que l’équipe met dans son pressing, et avec un manque d'agressivité flagrant, ils se font bousculés même par les plus mal classés du tournoi.Face à Dijon, la machine parisienne s’est enrayé faisant preuve à nouveau de facilité. "Nous avons été trop passifs en première mi-temps. On a manqué de précision et de rythme. Défensivement, mais aussi offensivement, nous n'avons pas joué ensemble. Nous n'avons pas appliqué notre plan de jeu," a expliqué Thomas Tuchel. Ce dernier est également pointé du doigt, il n’échappe pas non plus aux critiques. Ses choix sont très discutables. L’équipe, en fin de match contre le DFCO, s’est complètement collapsée. Et c’est à la responsabilité du coach que de mettre de la cohérence dans le jeu de son collectif et à force de compter sur la polyvalence de certains joueurs, l’entraîneur parisien met parfois son groupe en difficulté. Malgré une récente prolongation jusqu’en 2021, l’entraîneur allemand n’est pas installé dans un fauteuil confortable au PSG. Et il va devoir faire ses preuves et prouver à la direction qu’il est bel et bien l’homme de la situation. C'est un bien triste record que le Collectif féministe #NousToutes pour dénoncer les féminicides a annoncé ce week-end. 2019 aura vu plus de femmes tomber sous les coups de leurs conjoints que 2018. Un record dont évidemment tous nous se serions...