#EDITOTRESVIRIL – On se la joue mec !

Publié le 31 octobre 2019 par Lespulpeuses

Novembre est le mois dédié à la prévention des cancers et autres maladies liés aux hommes (prostate, testicules, etc).  Alors, en soutien à nos tontons, nos frères, nos mecs, nos bro, nos gars sûrs et toute notre clique de poilus, Stéphanie, fondatrice du magazine, a décidé de transformer le magazine en laboratoire des sciences masculines. On va apprendre à libérer notre potentiel masculin. 

Quand tu perds tes cheveux, tu perds un peu de féminité…

Il y a 5 ans, juste avant de créer le magazine, j’ai vécu un choc si intense que j’en ai perdu mes cheveux. Trop de stress, trop de fatigue, une hygiène de vie déplorable… Du coup, j’ai dû raser mes cheveux et trouver une nouvelle coupe pour “cacher la misère” à l’époque. 

Lorsque le coiffeur a passé le sabot de la tondeuse dans mes cheveux, j’ai craqué : “Putain mais je vais ressembler à un mec ! Ce sont les mecs qui ont les cheveux courts. Et puis, je suis grosse donc je vais ressembler à un camionneur avec ma carrure. Non on arrête tout !”.

Et là, il a eu la bonne idée de retourner le fauteuil, pour que je sois dos au miroir. Il m’a dit : “Fais moi confiance. Je n’entâcherai pas ta féminité. Tu seras encore plus belle que tu ne l’es déjà ma chérie”.

Il avait raison… Depuis que j’ai coupé mes cheveux, je me sens beaucoup plus belle. Beaucoup plus féminine, beaucoup plus désirable, plus sensuelle même. J’ai arrêté de mettre du fond de teint, de l’anti-cernes et tout ça. Mascara, eyeliner, khôl et rouge à lèvres et pis c’est tout

Retrouver un équilibre entre féminin et masculin

En prenant du recul, je me rends compte que depuis que j’ai coupé mes cheveux, j’ai cherché à me reconnecter à ma féminité. Comme si j’avais été un mec avant. C’est devenu quasiment une obsession pour moi…. Je ne voulais pas ressembler à un mec. 

Mais pourquoi au final ? Tous les mecs ne sont pas tous relous, misogynes, machos et dégueulasses. Toutes les meufs ne sont pas douces, sensibles, calînes et sensuelles.

On parle beaucoup de “part féminine” et “part masculine”. Pourquoi vouloir à tout prix être l’un ou l’autre ? Pourquoi ne pas tout simplement être les deux ? Ou être soi ? Parfois notre côté masculin prend un peu le dessus, parfois c’est le côté féminin Pas besoin de dualité, juste peut-être de la paix. 

On se la joue mec !

C’est pour cela qu’avec la rédac’ on a décidé de s’attaquer à ce gros morceau qu’est la masculinité. Et oui Movember oblige, on va faire ressortir notre part masculine sans oublier notre féminité. En effet, depuis plus d’une décennie, novembre est dédié à la prévention du cancer des testicules, de la prostate et à la santé de nos maris, conjoints, frères, cousins, tontons. Alors, on les soutient en nous connectant avec amour à notre part masculine. 

Comment maquiller ses sourcils quand on aime les avoir touffus ? Comment bien manger de la viande ? Comment bien faire une fellation ? Pourquoi et comment c’est important d’accepter notre part masculine ? Comment détourner la chemise de son mec ? Autant de questions auxquelles nous répondrons ce mois-ci

La Squad a enfilé sa paire de couilles, fait poussé la bebar et mis les mains dans le cambouis pour te refiler ses meilleurs conseils bien shootés à la testostérone. Alors, on attend tes commentaires.

En novembre, on se la joue mec et on adoooooooooore !

Bises sur la fesse gauche (et bisous baveux sur la droite),

Steph

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