Bonjour les cinéphiles!
Non, vous ne rêvez pas, revoici une review ciné! Ce mois d’octobre, je me serai remise à mes anciennes amours, laissant tomber les séries au profit du grand écran.
Et on commence ajd avec l’adaptation ciné d’une série qui s’est arrêtée il y a trois ans, qui nous a laissés en pleurs, et qui va le refaire aujourd’hui…Downton Abbey!
Je ne spoile rien si vous êtes à jour dans la série!
Synopsis
1927. Downton est en effervescence, car le roi George V et la reine Mary ont décidé de passer quelques jours chez les Crawleys. Mais l’arrivée des serviteurs du monarque et de la cousine de Robert compliquent quelque peu les choses…
What is a week end?
Noël 2016. L’Angleterre et une bonne partie du monde chiale à l’arrêt d’une série magnifique et merveilleusement addictive qui parle d’une famille d’aristocrates et de leurs domestiques.
2019. Le scénariste récidive et permet aux fans de Downton Abbey d’une fois de plus retourner dans le Yorkshire des années 20 en compagnie des Crawleys and co. Un dernier au revoir pour, il faut l’avouer, permettre pas mal de fan service, et vraiment bien boucler la boucle de certains arcs qui avaient été un peu mis de côté.
Et, évidemment, ça fonctionne du tonnerre. Parce que même s’il n’y a aucune surprise, aucun changement dans ce qui marche depuis le début. Parce que même si, of course, certains personnages sont moins présents (parce que leurs arcs sont bouclés, en grande majorité). Parce que même si tout ça, on ne peut s’empêcher de sourire, de pleurer, de rire en regardant cet épisode de 2h sur grand écran.
Oui, parce qu’honnêtement, il s’agit d’un épisode projeté au cinéma, pas vraiment d’un film. XD
Comme je le disais, certains personnages sont un peu mis de côté, comme les Carson; Mrs Patmore; Miss Baxter (ça c’est dommage) ou encore Robert et Cora (tant mieux); mais cela ne dérange pas outre mesure. Aucune frustration donc (sauf une petite).
Par contre, focus, lumière sur ceux dont on pouvait encore dire des choses, comme Andy; les Bates (qui m’avaient tellement tannée pendant les dernières saisons que j’ai été RAVIE de les revoir comme ils étaient au début); Edith et Bertie (que j’aime d’amour
Je conclurai en disant qu’obviously, on a également gardé ce qui a toujours fait la marque de fabrique de la série: Violet, Isobel et leurs discussions de sœurs-ennemies qui font hurler de rire tellement c’est bon; et notre Boulet à nous, Mr Molesley, extraordinaire comme toujours.
(Des défauts? Il y en a, mais on s’en fout complètement!)
Thomas, Carson et les autres…
Casting?
Upstairs, on garde les mêmes et on recommence: Michelle Dockery; Dame Maggie Smith; Laura Carmichael; Hugh Bonneville; Elizabeth McGovern; Matthew Goode; Harry Badden-Paton; Dame Penelope Wilton et bien sûr Allen Leech.
Downstairs, on a toujours Joanne Frogatt; Brendan Coyle; Phyllis Logan; Lesley Nicol; Sophie McShera; Michael Fox; Jim Carter; Kevin Doyle; Raquel Cassidy et Rob James-Collier.
Parmi les nouveaux visages, on retiendra Stephen Campbell-Moore (ça faisait longtemps, trop longtemps à mon gout); Imelda Staunton (épouse de Jim Carter en vrai) qui est à mille lieues de son Umbridge et qui fonctionne terriblement bien en duo avec Maggie Smith; Tuppence Midleton (my baby) qui est trop choupi tout du long; ou encore Kate Phillips qui m’a fait hurler « LINDAAAA! » sans pouvoir m’en empêcher. Arthur Shelby, sors de ce corps.
Bref, Downton Abbey, le film, n’en est pas vraiment un, a le même gout de earl grey et scones que la série qui nous manque, et je file embrasser mes deux Tom d’amour.
Note: 8/10 (scénario: 7/10 (c’est quand même fort prévisible) – jeu: 10/10 – BO: 10/10 (that music, ffs) – adaptation: 5/10 (quelle adaptation?))