Son agenda est certes virtuel, il n’en reste pas moins incompressible. C’est étrange quand il y pense, un calendrier sur un écran, volatile, décharné, immatériel et pourtant sans interstice ni espace. Il peut toujours chercher : impossible de se dégager du temps disponible. Alors il finit par se lever et sous les regards sidérés, entreprend de percer des trous dans son écran avec le tire-bouchon de son limonadier.