Religion sous marine

RELIGION SOUS MARINE

Religion sous Marinehttps://www.lejournaldepersonne.com/2019/10/religion-sous-marine/Nous sommes en 2022...#MarineLePenReligion sous Marine : Nous sommes en 2022, Marine est élue "maître des lieux" pour résoudre la crise des banlieues qui ont pris feu ou qui ont entrepris de soumettre la France à leur Dieu.L'ardente présidente sait, a toujours su quoi faire pour que sa nation aille mieux.De son propre aveu, cela tient en deux mots : "dénouer les nœuds".Sa grammaire est fondamentalement biblique : tous les participes qui ne s'accordent pas avec sa vision sont des agents de troubles et de division, il faut les reconduire chez eux et épargner à la nation, tout sujet contentieux.Il faut, estime-t-elle, distinguer souverainement entre l'inné et l'acquis. De même qu'on peut relever de ses fonctions tout agent qui dysfonctionne, de même qu'on doit pouvoir retirer sa nationalité à tout étranger qu'on soupçonne...Ce n'est pas sorcier comme chasse aux sorcières. Il suffit pour la France d'embrasser ce qui lui est "avantageux" et de se débarrasser de ce qui lui est "désavantageux".La préférence nationale pour ouvrir le bal, car la politique précède la morale, comme la passion précède la compassion. Charité bien ordonnée passe d'abord par soi-même. Les français d'abord pour que l'on puisse redresser tous les torts et améliorer leur sort.Mais cette préférence nationale n'a de sens que pour ceux qui font la différence entre un bien qui nous appartient et un mal qui ne nous appartient pas. Le premier est notre dû, le second est indu. Le premier est viscéral, le second trivial.Et quel est ce bien qui lui va si bien ? Sa patrie, son père, ses repères, le lien secret et sacré qui la relie à sa terre... autrement dit, son excès de zèle qui lui donne des ailes et la fait rêver d'un pays où coule le lait et le miel.Avec elle, la France proclame sa différence... et réclame en même temps son identité pour redonner un sens à son existence... sens essentiel, substantiel : ce sans quoi sa vie ne vaut pas la peine d'être vécue. Sur le plan juridique : il faut retrouver ses racines et le temps perdu sur les champs de ruine. Il faut abolir le droit du sol au profit du droit du sang, seul autorisé à circuler dans ses veines. Pourchasser tous ceux qui propagent la gangrène et chasser tous ceux qui favorisent la rage et la haine. Expulser tous ceux qui sont par définition incompatibles avec son sens de la nation qui est d'essence chrétienne.C'est son totem, sa référence suprême...car elle s'estime de race et de destination divine. L'islam ne peut et ne doit en aucun cas faire partie de sa vitrine. Il faut l'éradiquer avant qu'il ne contamine tous ses vaisseaux sanguins. Ni endogène, ni exogène, la France n'autorisera plus le moindre signe indigène.

Publiée par Lejournal Depersonne sur Jeudi 10 octobre 2019

Religion sous Marine : Nous sommes en 2022, Marine est élue "maître des lieux" pour résoudre la crise des banlieues qui ont pris feu ou qui ont entrepris de soumettre la France à leur Dieu.

L'ardente présidente sait, a toujours su quoi faire pour que sa nation aille mieux.

De son propre aveu, cela tient en deux mots : "dénouer les nœuds".

Sa grammaire est fondamentalement biblique : tous les participes qui ne s'accordent pas avec sa vision sont des agents de troubles et de division, il faut les reconduire chez eux et épargner à la nation, tout sujet contentieux.

Il faut, estime-t-elle, distinguer souverainement entre l'inné et l'acquis. De même qu'on peut relever de ses fonctions tout agent qui dysfonctionne, de même qu'on doit pouvoir retirer sa nationalité à tout étranger qu'on soupçonne...

Ce n'est pas sorcier comme chasse aux sorcières. Il suffit pour la France d'embrasser ce qui lui est "avantageux" et de se débarrasser de ce qui lui est "désavantageux".

La préférence nationale pour ouvrir le bal, car la politique précède la morale, comme la passion précède la compassion.

Charité bien ordonnée passe d'abord par soi-même. Les français d'abord pour que l'on puisse redresser tous les torts et améliorer leur sort.

Mais cette préférence nationale n'a de sens que pour ceux qui font la différence entre un bien qui nous appartient et un mal qui ne nous appartient pas. Le premier est notre dû, le second est indu. Le premier est viscéral, le second trivial.

Et quel est ce bien qui lui va si bien ?

Sa patrie, son père, ses repères, le lien secret et sacré qui la relie à sa terre... autrement dit, son excès de zèle qui lui donne des ailes et la fait rêver d'un pays où coule le lait et le miel.

Avec elle, la France proclame sa différence... et réclame en même temps son identité pour redonner un sens à son existence... sens essentiel, substantiel : ce sans quoi sa vie ne vaut pas la peine d'être vécue.

Sur le plan juridique : il faut retrouver ses racines et le temps perdu sur les champs de ruine. Il faut abolir le droit du sol au profit du droit du sang, seul autorisé à circuler dans ses veines.

Pourchasser tous ceux qui propagent la gangrène et chasser tous ceux qui favorisent la rage et la haine. Expulser tous ceux qui sont par définition incompatibles avec son sens de la nation qui est d'essence chrétienne.

C'est son totem, sa référence suprême...car elle s'estime de race et de destination divine.

L'islam ne peut et ne doit en aucun cas faire partie de sa vitrine. Il faut l'éradiquer avant qu'il ne contamine tous ses vaisseaux sanguins. Ni endogène, ni exogène, la France n'autorisera plus le moindre signe indigène.

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