La montée des eaux, les ouragans, les épidémies, dus à la crise climatique, auront aussi pour conséquence de voir se déplacer de nombreuses populations un peu partout dans le monde. Ces mouvements pourraient devenir eux-mêmes des facteurs de conflits.
La Banque mondiale prévoit jusqu’à 2 milliards d’êtres humains qui pourraient fuir de chez eux. Mais pour le chercheur du CNRS, Gaël Giraud, ce chiffre sur les réfugiés climatiques semble sous-estimé. Si l’Inde et l’Asie du sud-est deviennent invivables, au moins trois milliards de personnes vont devoir migrer, affirmait-il au journal "Reporterre" début septembre. Il y avait longtemps… La pause estivale nous avait presque fait oublier la diarrhée verbale de notre président. La rentrée terminée, c’est reparti. Parce que l’ego des hommes et des femmes politiques – entre autres – est sans limites, et...