Face au terrorisme, l’aide humanitaire neutre et impartiale peut-elle se poursuivre ? Si oui, comment et à quel prix ? L’avenir de l’humanitaire est-il compromis ? Certaines victimes ne risquent-elles pas d’être oubliées ? Face au terrorisme, l’humanitaire est-il armé ? Que dit le droit ? Si le droit est impuissant, que reste-t-il ?
Ont tenté de répondre à ces questions : Louise Avon (Ministère des Affaires étrangères) Rony Brauman (Médecins sans frontières), Michel Veuthey (Institut de droit international humanitaire - San Remo), Balhazar Staehelin (CICR). Débat animé par Soumaya Benaïssa.