Cette chanson a hanté mon adolescence. Et puis elle surgit de temps à autre pour me rappeler cette Belle Époque. Je ne peux l’écouter sans qu’une émotion nostalgique m’emporte vers un passé, et une très belle époque : les années 60. Je ne sais pas ce qu’est devenu Benoît Philippe ce chanteur belge. J’ai longtemps cherché cette mélodie et je ne l’ai trouvé qu’hier. Je ne puis vous dire toutes les mentions que j’ai eues en l’écoutant. Merci infiniment Benoît Philippe.
Si le vent quelquefois
Me fredonne ton nom
C’est en vain que je t’aime
En te connaissant pas
Je t’ai vue quelquefois
Souriante et furtive
Frêle et sereine
Aussi douce au printemps
Je t’écris cette lettre
N’en pouvant plus
Avec l’espoir
De ranimer en toi
Ce sourire timide
Que t’adressait autrefois
A peine s’il osait
Ce garçon craintif que j’étais
Tu as grandi
Moi aussi bien sûr
Mais cela n’exclut pas
Les souvenirs d’antan
Qui, j’espère, ne s’effaceront pas
Par le temps
Oh Lisette, souviens-toi de moi parfois
Je t’écris cette lettre
N’en pouvant plus
Avec l’espoir
De ranimer en toi
Ce sourire timide
Que t’adressait autrefois
A peine s’il osait
Ce garçon craintif que j’étais
Oh Lisette, souviens-toi de moi parfois
Oh Lisette, souviens-toi de moi parfois
Oh Lisette, souviens-toi de moi parfois
Oh Lisette, souviens-toi de moi parfois…