Depuis près de 40 ans, les campagnes de sensibilisation et de vaccination dans les pays de la région africaine ont permis de mettre fin au virus qui touche particulièrement les enfants de moins de 5 ans. Cette maladie très contagieuse a sucité une importante vigilance après un cas de poliomyélite sauvage en août 2016 au Nigéria. Les autorités ont amélioré leur réseau de surveillance en s’assurant que tous les enfants avaient bien été vaccinés et reçus les rappels nécessaires pour éviter l’épidémie qui peut entraîner une paralysie totale en quelques heures.
Malgré cette avancée, l’OMS appelle les pays africains à ne pas baisser la garde et à se protéger contre les rares souches de poliomyélite non sauvage qui peuvent apparaître lorsqu’une population n’est pas totalement immunisée.
"Nous devons rester vigilants dans nos efforts de vaccination et de surveillance : chaque pays doit continuer à s'assurer qu'il recherche le virus de près et qu'il parvient à vacciner chaque enfant", précise le Dr Matshidiso Moeti. Elle souligne la nécessité de renforcer la surveillance et la vaccination de routine dans toute la région pour supprimer définitivement le virus.
Vendredi 20 septembre, les jeunes du monde entier sont descendus dans la rue et ont manifesté leur inquiétude pour ne pas dire leur peur d’un avenir obstrué par les vapeurs de pollution que dégagent aujourd’hui les activités de leurs aînés sans...