Même si l’EAD est adapté dans sa situation, elle nous confie ô combien il est important "de suivre le rythme soutenu pour ne pas décrocher". Mais c’est l’essence même du journalisme : allez plus vite pour progresser. C'est très jeune que Pauline a commencé le sport. Elle s'est d'abord essayée à la natation avant d'intégrer le club de tennis de Ronchin, à l'âge de 16 ans. À l'époque, il n'y avait pas de section handi. Elle s'impose comme première sportive en situation de handicap et ce n'est que par la suite qu'une section a été créée. Elle a également su trouver sa place à l'école et a bénéficié d'un cursus scolaire ordinaire comme n'importe quel.le élève.
Mais Pauline veut aller plus loin. Faire davantage reconnaître le tennis fauteuil et plus largement le handisport, c'est par dessus tout son souhait. Selon elle, la France a un train de retard en terme d'accessibilité. Elle a pu s'en rendre compte lors de la Coupe du monde para-tennis 2016 à Tokyo. La France termine alors en 5e position.
Si notre pays est en décalage, il devrait peut-être pouvoir s'inspirer du modèle Japonais.
Pauline Hélouin, future journaliste, ambassadrice handisport ou médaillée des prochains Jeux Paralympiques? Vendredi 20 septembre, les jeunes du monde entier sont descendus dans la rue et ont manifesté leur inquiétude pour ne pas dire leur peur d’un avenir obstrué par les vapeurs de pollution que dégagent aujourd’hui les activités de leurs aînés sans...