Seulement voilà, je fus invitée, et je me suis crue en vacances.
Vous allez voir comme il y avait beaucoup à faire !
L'évènement, créé en 2003, initialement sur une seule journée (il est passé à deux jours l'année suivante et à trois depuis 2007) ne ressemble à aucun autre. Rock-en-Seine est un festival qui mérite sa base line, The Last Days of Summer. Tout est pensé pour que les festivaliers (attendus tout de même au nombre de 120 000 sur les trois jours) puissent se déplacer sans se bousculer, flâner, se reposer, écouter de la musique (et le choix est large avec 17 à 19 artistes ou groupes musicaux chaque jour), se restaurer et même entreprendre une action qui ait du sens en terme de Vivre ensemble, ou pour la planète.
J’ai vu flotter le drapeau d’une grande marque de boisson alcoolisée … qui n’est pas une bière… L’espace blanc et rouge était particulièrement attirant, invitant à la paresse. Dommage que les jeunes gens qui avait été recrutés pour l'occasion semblaient ne pas savoir du tout pourquoi ils étaient là.
Je pense aussi à la Ville de Saint-Cloud dont des personnes se réclamant du bureau de la communication m'ont fait la leçon, m'expliquant que la ville n'a rien à voir avec l'événement qui est piloté par le Domaine de Saint-Cloud puisqu'il s'y déroule. Le dossier de presse mentionnant la Ville de Saint-Cloud dans la liste des partenaires avec son logo serait-il erroné ? Dommage, car je voulais m'intéresser à l'opération de troc de livres initié par la bibliothèque municipale et rendre hommage à l'action "100% Récup" ...
Coup de chapeau également aux Mirabelles de Lorraine mûres à point, attirantes, offrant des idées de recettes sortant de la sempiternelle tarte (qui n'est pas pour autant reniée). On peut faire bien plus original.
C’est le signe de tous les surfeurs de la planète. Et son histoire est plutôt originale. Dans la première moitié du XIX siècle, à Hawaï (le royaume du surf) un pêcheur du nom de Hamana Kalili a été contraint de changer de travail après avoir perdu ses 3 doigts du milieu dans un accident. Il est devenu gardien d’un train qui transportait du sucre, chargé d'éloigner les enfants voulant voyager clandestinement. Il criait en agitant la main non pas pour leur faire peur mais au contraire dans l'esprit de leur éviter de se blesser. Les gamins ont vite reproduit ce geste en le détournant pour signifier à leurs copains que le gardien était absent et qu'ils pouvaient se lancer à l'assaut du train. Le signe a désormais une signification qui englobe les deux principes.