Jean Ryth-Giraud - The dancer | Photo J. Hajjar
Rhythm is a dancerIt's a soul companion
You can feel it everywhere
Lift your hands and voices
Free your mind and join us
You can feel it in the air C'est cette chanson que les Montagnards chantaient sporadiquement pendant la rencontre lorsqu'on voyait #29 Rythme FM danser à travers la secondaire de coach Fortier. Sur les 146 v. d'attaque nettes des Bleus, Rythme FM en a gagné 139!!!! En passant, y a t'il un autre candidat au joueur offensif RSEQ de l'année ? - On va se le dire, les 2 quarts-arrière présents, pourtant qui avaient fait flèche de tout bois au niveau collégial ne rendaient pas justice au niveau de football qu'on s'attend des 2 des tops 3 équipes universitaires au pays. - Du côté montréalais, TOUS les partisans que l'on a croisés nous demandaient pourquoi on s'obstinait à laisser #3 D. Morand à la barre de l'offensive, surtout que pour la première fois de l'année, on avait habillé l'ex Team Canada #16 F. Paquette-Perreault. Pouvait-il être pire que l'ex Géant qui ne progresse pas depuis 2 ans ? À sa défense, on doit dire que lorsque le jeu ne se développe pas de la façon désirée, DIm a appris à "sucker" le ballon et prendre le sac au lieu de tenter une passe désespérée, chose que son opposant victime de 3 interceptions doit, de toute évidence, apprendre à maîtriser rapidement.
Pourtant, dans le passé, coach Maciocia a sorti à la demie beaucoup d'autres quarts-arrière de grands talents qui ne produisaient pas.
Après l'interception de #9 J-S Bélisle, les Carabins avaient le momentum, avançaient le ballon, et au lieu d'y aller pour un 3 points de placement, décidèrent d'y aller pour le gros coup avec un jeu truqué, qui ne fonctionna pas. C'est une décision de coaching et on va vivre avec, mais le problème fondamental de ce jeu, c'est qu'il était impossible qu'il réussisse. En effet, lorsque la remise de ballon se fait au teneur avec un genou au sol, il est alors impossible selon les règles du foot universitaire de donner le ballon à un autre ou de tenter une passe, la seule possibilité est un botté. C'est pour cette raison que le ballon a été replacé à la ligne de 27 v., là où se tenait le #83 R. Major-Dagenais (le teneur). Bonne décision des arbitres.
- Une petite étoile dans le bulletin des troupiers du général Constantin pour une raison : Ses joueurs d'attaque étaient toujours (95%) prêts et en formation d'attaque au moment du décompte du 20 secondes, malgré tout le bruit que nous faisions.
- Lorsqu'on a vu après quelques jeux, la formation partante en défensive, on cherchait le vétéran #53 F. Pelletier, lui qui est le plaqueur au centre de la ligne défensive, il avait été remplacé par #97 T. Mercier, une recrue avec un physique beaucoup plus adapté à un ailier défensif qu'à un plaqueur. Devant la menace de l'immense ligne offensive du Rouge et Or qui promettait de courir sans cesse, et sans aucun plaqueur véritable, ça n'augurait vraiment pas bien. Finalement, l'ensemble de la défensive n'accordera que 85v.
au sol pendant toute la rencontre.
Parlant de nos amis les zarbitres, sont-ils obligés de punir tout ce qui se passe sur le terrain ? Lorsque des punitions qui se passent loin du jeu et qui n'affectent pas le jeu, doivent-ils obligatoirement sortir le mouchoir ? Ils ont pénalisés Sherby et McGill pour 270 verges vendredi soir et 200 verges pour le match de samedi. Souvent, lorsqu'on visionne les matches RSEQ à la télévision, CA SInotte s'étonne que des gestes modérés soient punis. Si l'on excepte les cas où la sécurité des joueurs est menacée, est-ce qu'on pourrait laisser les joueurs jouer ?
Et une autre couche de mystère qui va ajouter autour du mythe football Rouge et Or et ses suspects passe-droits, la visite du maire Labeaume auprès du vestiaire des arbitres à la demie, POURQUOI ?
Différentiel de 5 points - À la lumière de cette rencontre, l'équipe qui saura le mieux géré les blitz adverse va se retrouver victorieux de la Dunsmore - The game is on.