Samedi dernier, pendant que l’attaque des Bleus peinait à contrer le blitz total de la défensive sherbrookoise, les Hommes de coach Lessard marquaient plus de 40 points contre les Stingers de Concordia. Ces mêmes Stingers qui avaient limité l’attaque des Carabins à un maigre 10 points la semaine précédente. Ce qui frappe lorsque l’on compare les statistiques des deux affrontements contre les Stingers, c’est à quel point l’attaque de ceux-ci a été constante. Contre Montréal, le QA Californien des Marrons avait gagné 225v par la voie des airs et avait complété 20 de ses 33 passes. Contre McGill, c’est 22 des 36 passes Vance Joy qui ont trouvé preneur pour des gains de 247v. La comparaison tient aussi pour le jeu au sol. La défensive de McGill a concédé 46v en 20 courses, comparativement à 60v en 23 courses la semaine précédente contre l’agressif Front7 des Carabins. Ce n’est donc pas du côté d’une possible contre-performance ou d’une baisse de régime de Concordia que l’on doit regarder pour expliquer la différence de pointage entre les deux semaines, mais plutôt de la force de frappe de ses adversaires. Il faut se rendre à l’évidence, clairement, Coach Lessard a trouvé la faille dans la couverture défensive des Stingers que Coach Antoine a manquée. L’attaque de McGill a généré plus de 485v la semaine dernière. Uniquement par la voie aérienne, le nombre de verges amassées étaient de plus de 100 supérieurs à ce que l’attaque des Carabins avait été capable de produire au total, toujours la semaine précédente Pis encore, il faut croire que les Gros bonshommes Rouges du toujours sympathique M. Glaude, aient trouvé le moyen de neutraliser le ventripotent #92 des Marrons et de créer les brèches nécessaires pour que le rapide PB D. Martel et ses acolytes puis ramasser plus de 151v, soit plus de 60v de plus que ce qu’avait réussi à ramasser les Carabins. Heureusement pour nous, les règles de trois ne s’appliquent pas dans le sport. La défensive de Concordia n’est pas celle des Carabins. La tertiaire de Concordia n’a pas la profondeur ce celle des Carabins. Concordia n’a pas dans ses rangs un joueur de la trempe de #24 MA Dequoy qui oblige les attaques averses à ne jouer que sur une moitié de terrain sous peine de le voir détaler avec le ballon jusqu’à la zone des buts. Je m’attends donc pas à ce que l’autre Dimitri, celui des Rouges reproduise sa performance de la semaine dernière. Par contre, après deux parties ou l’attaque des Carabins peine à produire; ou le jeu aérien n’arrive pas généré de gain de plus de 6v et les receveurs cumulent autant de YAC que le Canadien de championnat en 20 ans, attendez-vous à revoir la tactique défensive utilisée par le Renard la semaine. La boite sera pactée. Les blitz viendront de partout et ils voudront forcer notre Dimitri à mettre le ballon dans les airs. Malheureusement, la perte des receveurs vétérans partants #73 T. Fiske et #81 A. Mailhot n’aidera pas à contrer cette stratégie. Vivement que Coach Antoine retrouve la page qui parle des screens play dans son livre de jeu, sinon D. Morand risquera de trouver la journée longue… et nous aussi.
Partie 3 : Les rois de la montagne part 1 – La bataille des Dimitris
Publié le 06 septembre 2019 par AllezlesbleusSamedi dernier, pendant que l’attaque des Bleus peinait à contrer le blitz total de la défensive sherbrookoise, les Hommes de coach Lessard marquaient plus de 40 points contre les Stingers de Concordia. Ces mêmes Stingers qui avaient limité l’attaque des Carabins à un maigre 10 points la semaine précédente. Ce qui frappe lorsque l’on compare les statistiques des deux affrontements contre les Stingers, c’est à quel point l’attaque de ceux-ci a été constante. Contre Montréal, le QA Californien des Marrons avait gagné 225v par la voie des airs et avait complété 20 de ses 33 passes. Contre McGill, c’est 22 des 36 passes Vance Joy qui ont trouvé preneur pour des gains de 247v. La comparaison tient aussi pour le jeu au sol. La défensive de McGill a concédé 46v en 20 courses, comparativement à 60v en 23 courses la semaine précédente contre l’agressif Front7 des Carabins. Ce n’est donc pas du côté d’une possible contre-performance ou d’une baisse de régime de Concordia que l’on doit regarder pour expliquer la différence de pointage entre les deux semaines, mais plutôt de la force de frappe de ses adversaires. Il faut se rendre à l’évidence, clairement, Coach Lessard a trouvé la faille dans la couverture défensive des Stingers que Coach Antoine a manquée. L’attaque de McGill a généré plus de 485v la semaine dernière. Uniquement par la voie aérienne, le nombre de verges amassées étaient de plus de 100 supérieurs à ce que l’attaque des Carabins avait été capable de produire au total, toujours la semaine précédente Pis encore, il faut croire que les Gros bonshommes Rouges du toujours sympathique M. Glaude, aient trouvé le moyen de neutraliser le ventripotent #92 des Marrons et de créer les brèches nécessaires pour que le rapide PB D. Martel et ses acolytes puis ramasser plus de 151v, soit plus de 60v de plus que ce qu’avait réussi à ramasser les Carabins. Heureusement pour nous, les règles de trois ne s’appliquent pas dans le sport. La défensive de Concordia n’est pas celle des Carabins. La tertiaire de Concordia n’a pas la profondeur ce celle des Carabins. Concordia n’a pas dans ses rangs un joueur de la trempe de #24 MA Dequoy qui oblige les attaques averses à ne jouer que sur une moitié de terrain sous peine de le voir détaler avec le ballon jusqu’à la zone des buts. Je m’attends donc pas à ce que l’autre Dimitri, celui des Rouges reproduise sa performance de la semaine dernière. Par contre, après deux parties ou l’attaque des Carabins peine à produire; ou le jeu aérien n’arrive pas généré de gain de plus de 6v et les receveurs cumulent autant de YAC que le Canadien de championnat en 20 ans, attendez-vous à revoir la tactique défensive utilisée par le Renard la semaine. La boite sera pactée. Les blitz viendront de partout et ils voudront forcer notre Dimitri à mettre le ballon dans les airs. Malheureusement, la perte des receveurs vétérans partants #73 T. Fiske et #81 A. Mailhot n’aidera pas à contrer cette stratégie. Vivement que Coach Antoine retrouve la page qui parle des screens play dans son livre de jeu, sinon D. Morand risquera de trouver la journée longue… et nous aussi.