Emmanuel Macron joue le père fouettard avec le président du Brésil, Bolsonaro, pour avoir facilité la déforestation.
Mais Macron fait de même.
950 000 c’est en hectares la superficie de forêt amazonienne en Guyane française menacée par les permis d’exploitation minière.
L’Amazonie flambe (+ 84% depuis janvier au Brésil). Les dégâts pour l’écologie sont gigantesques, au nom du profit des multinationales de l’agrobusiness et de l’industrie minière dont les dirigeants du G7 sont complices.
Non seulement le MERCOSUR ne doit pas être ratifié, mais le CETA doit être remis en cause.
Face à l’urgence climatique, il faut stopper le processus de déforestation industrialisée.
Section de Sète du PCF