Bonjour,
Nous allons étudier une relation de cause à effet des courants telluriques (électriques), générant les courants marins.
Le courant tellurique est un courant électrique qui circule dans la croûte terrestre. La densité moyenne de ce courant est de 2 A/km2 ( Wikipedia: courant telllurique).
D'abord un peu d'histoire sur des études volontairement oubliées qui ont eu lieu au début des années 1950 jusques dans les années 60, relatées par Lucien Barnier en 1968 dans son livre "Les océanautes", eds Casterman, dont voici un extrait:
1. "De diverses recherches sur les courants marins, il ressort que ceux-ci se comportent de manière assez semblable aux vents atmosphériques. Dans les deux cas, il y a déplacement localisé de la matière au sein du milieu formé de cette matière, qu'il s'agisse d'eau pour les courants océaniques ou d'air pour les vents.
Le cours de ces déplacements s'effectue selon un itinéraire qui est également influencé par la force de Coriolis résultant de la rotation terrestre. Il progresse dans le sens des aiguilles d'une montre pour l'hémisphère Nord et dans le sens contraire pour l'hémisphère Sud.
2. "Une centrale électrique inattendue:
Conséquence inattendue des courants marins et des mouvements de marée, le déplacement d'énormes masses d'eau dans le champ magnétique terrestre engendre des courants électriques, dont le professeur britannique S. K. Runcorn a décelé l'existence pour la première fois en 1964. Des équipes françaises, américaines et soviétiques étudient présentement la propagation de courants telluriques au sein des océans. Les courants telluriques sont des courants électriques qui circulent dans l'écorce terrestre et semblent causés par l'induction de courants électriques de l'ionosphère.
Selon une étude de l'ingénieur Robert Nazat, l'existence de courants telluriques marins a été connue dès 1880, lors de mesures de différences de potentiel électrique entre plusieurs stations cotières de câbles télégraphiques sous-marins. Mais on ne s'y intéressa guère par la suite.
Il est possible que dans les régions arctiques d'intense activité électromagnétique, ces courants telluriques marins soient assez puissants pour agir sur le déplacement des icebergs. C'est une éventualité que les savants soviétiques prennent en considération, eux qui attachent tant de prix à l'établissement d'une navigation commerciale à travers le basin de l'Arctique, et par conséquent à une connaissance absolument précise de la dérive des icebergs dans cette région dont les voies maritimes ne sont présentement praticables que la moitié de l'année.
On a quelques raisons de croire également que ces courants telluriques marins ne sont pas étrangers à l'extraordianire "production" de minerais métallifères dont nous verrons plus loin l'énorme prix pour les civilisations à venir. Ces dépôts tapissent en quantités fabuleuses les planchers des océans. "
Reprenons à présent cette intéresante donnée de Wikipédia sur les courants électriques que l'on dit "telluriques".. Ils seraient de l'ordre moyen de 2 ampères par km².
Cette mesure est très intéressante, parce que nous savons à présent, sur le blog "antigravity", que l'analyse dimensionnelle des ampères par mètre carré donne en réalité une "vitesse pure" des charges électriques de 2 millionièmes de mètre par seconde, dans le sens de l'écoulement de ces charges dans la matière.. et c'est déjà une vitesse acceptable. Car contrairement à ce que les gens croient, c'est le "signal" électrique qui se propage à la vitesse de la lumière, mais pas les charges elles-mêmes.
Voici une autre étude intéressante qui a été postée sur Futura-sciences et aussitôt effacée par les "modérateurs" de son très intéressant forum de physique:
"Les unités de pression sont généralement connues comme étant des "pascals", alors qu'en fait, une pression peut être considérée comme une densité massique d'énergie (E/M), et il n'est pas difficile d'obtenir des vitesses "carrées" (Mv²/M= v²) pour remplacer les pascals par des m²/sec².
C'est ici que cela devient intéressant: si une pression est soudain dé-générée par une percolation, par exemple, ou par un écoulement au fond d'un lac de barrage, le peu d'écart de pression entre le liquide-qui-ne-bouge-pas et le liquide qui s'écoule (écart de l'ordre de 3%, dit-on) crée un gradient de pression qui agit comme une divergence de P, soit (1/m). (m²/sec²) = m/sec².
Or les m/sec² reflètent non seulement une accélération cinématique, mais peuvent aussi montrer la présence d'un champ électrique E de même catégorie (le champ électrique se caractérise par une accélération de charges).
A-t-on relevé la présence d'un champ électrique dans une situation de dé-générescence de la pression ? Ne répondez pas trop vite: non !.. avant de vous fournir l'indication suivante; dans les années 50 du siècle passé, certains ont relevé des courants électriques dans la circulation thermohaline entre les courants marins et le reste de la mer.. Mais en parle-t-on encore aujourd'hui ? "
A suivre / article en construction