Comme chaque année, je ramène sur la table des coquillages. Ce fut longtemps pour leur beauté, puis pour les animaux qu'ils logeaient et que nous ne voyons pas.
J'ai peu marché cet été, peu de coquillages mais une pensée pour une vitrine collection nature où ils se retrouveraient, porte ouverte à d'autres découvertes. Avant cela, toujours eux avec un indice zoologique.
Mes dentales que j'aime chaque année, avec les pétoncles toujours bien présentes...
des turitelles et une gibbule, inspirantes pour leur colimaçon... une anomie toujours aussi nacrée et friable. Un pied de pélican si particulier et cette année une nouveauté...
non, non, pas le buccin mais les tunnels de calcaire au dessus: trace de l'ancienne présence d'un ver marin, ver annélidé tubicole serpulidae.