U4 : Stéphane de Vincent Villeminot

Résumé :<< Je m'appelle Stéphane. Je vis à Lyon. C'est le chaos. Des bandes de jeunes commencent à piller les appartements vides. D'autres investissent les lycées désertés... Moi je préfère attendre mon père, chez nous. Et s'il ne revient pas, j'irai au rendez-vous. J'irai jusqu'à Paris pour le retrouver dans son bunker de l'armée. >>Mon avis :J'ai lu ce livre dans le cadre d'une lecture commune avec Manue de Caen, qui proposait de lire les quatre tomes, un par mois. Ce que j'aime beaucoup dans cette série, c'est que ça peut se lire indépendamment et écrit par des auteurs différents. Pour lire les livres dans l'ordre, je me suis référée d'après un forum. Je n'aime pas trop lire dans le désordre. Dans ce monde apocalyptique, on suit le premier personnage : Stéphane. Et oui c'est une fille ! Elle apprend à survivre comme les autres ados de son âge, de 15 à 18 ans, sans les adultes. Ils sont livrés à eux-mêmes. Il semble que ces adolescents sont immunisés contre le virus. Stéphane est déterminée à retrouver son père et le reste de sa famille. La situation change, elle doit rejoindre un R point. Un lieu de rassemblement pour éviter les pillards. En période d'hiver, l'austérité s'installe. L’héroïne décide de s'enfuir de la communauté pour passer outre le règlement. C'est la fuite perpétuelle avec ses compagnons de route, on voit le personnage évoluer. Juste un petit bémol, j'ai trouvé la partie des scientifiques en herbe peu crédible pour trouver un vaccin. Malgré ça, c'est une histoire captivante, ça se lit bien, avec un personnage principal qui a de l'audace, qui est combattante, et surtout présente pour la survie de ses amis et elle, passe après. À découvrir les autres tomes... Mon ressenti :Une belle découverte !Morceaux préférés du livre :<< Tu te demandes si tu es une bête féroce ou bien un saintMais tu es l'un, et l'autre. Et tellementde choses encore (...)N'attends rien que de toi, parce que tu es sacré.Parce que tu es en vie. >>Fauve ≠, Blizzard. << Ils ne mourraient pas tous,mais tous étaient frappés. >>Jean de La Fontaine<< Les animaux malades de la peste>>, Fables.