On peut lire en mécanique quantique: "Les électrons possèdent, comme toute la matière, la propriété quantique d'être à la fois ondes et corpuscules, si bien qu'ils peuvent avoir des collisions avec d'autres particules, et être diffractés comme la lumière. Cette dualité est facile à constater avec les électrons en raison de leur faible masse".
Quand on sait que les électrons s'expriment aussi sous forme de radiations n'y a-t-il pas erreur d'utilisation à parler de permittivité constante dans le vide, quels que soient les potentiels électriques électriques en présence ?
Prenons un exemple qui n'a (semble-t-il) rien à voir: Il ya quelques années, un incendie s'est déclaré à 300 mètres d'une autoroute dans un secteur industriel (Ghislenghien). Les flammes (du gaz) étaient absolument gigantesques et montaient haut dans le ciel. Quelques automobilistes se sont arrêtés sur la bande de sécurité pour voir le spectacle grandiose.. et se sont retrouvés à brûler, sur place..
Bien entendu, il n'existe pas de "tension" entre les automobilistes et cet incendie, mais la comparaison permet toutefois de dire que l'espace entre les 2 localisations s'était considérablement réduit face à .. l'intensité du rayonnement calorique, ce qui a trompé les spectateurs.
Pour en venir au "champ électrique", il peut être défini comme le champ traduisant l'action à distance subie par une charge électrique fixe dans un référentiel donné de la part de toutes les autres charges, que celles-ci soient fixes ou mobiles. Si cette "action à distance" existe, elle est bien d'origine quantique et induit alors automatiquement une question de "seuil" de tolérance variable pour passer de "charge" à "décharge".
Il est plus que certain alors que la permittivité (du vide, si cela se passe dans le vide) change en fonction de l'espace entre "bornes" et de l'intensité de l'une d'entre elle par rapport à l'autre, quelle que soit la nature du milieu traversé..
Ci-dessus, valeur "fixe" et "officielle" de la permittivité du vide.
Les supernovae ne peuvent allumer leur "périphérie" que si la permittivité du vide change avec l'intensité du rayonnement électrique central.
A suivre; article en construction