Dans une autre salle du Musée Niepce, il y avait une exposition de photos de Ricardo Cases. Si j’ai pris plaisir à regarder les pigeons espagnols qui me rappelaient « ches coulonneux » du Nord (autre nom des colombophiles), je n’ai pu en rapporter que quelques images de nid. Un autre mur de l’exposition montraient des photos dont la lecture ouvrait sur des présomptions de culpabilité. Il était impossible d’en extraire quelques images sans en modifier l’intention. C’est à mes yeux l’impression globale de lumière rayonnante qui dominait cette salle. L’image que j’en ai retenue en témoigne peut-être.