L’Alcazar, l’envers d’un music-hall, par la Compagnie Chap’de lune
Des trois parties de ce spectacle, je n’en ai vu que la deuxième, choisie en fonction de son horaire et sans avoir remarqué, préalablement, ce découpage en trois temps. C’est sans doute dommage car la deuxième partie se déroule pendant le spectacle du music-hall et nous assistons en voyeurs aux retours des artistes dans la loge commune entre leurs passages sur scène. Malgré quelques effets attendus (la rivalité entre elles, l’évocation de l’attitude du « baron », par exemple), on retient l’énergie des comédiennes, le dispositif original (le public à l’extérieur de la tente, les comédiennes à l’intérieur), mais sans doute cette partie centrale du triptyque doit être vue à sa place, après la première et avant la troisième. Ce qu’on m’a dit, notamment, de la troisième partie m’a fait regretter, mais trop tard, de ne pas l’avoir vue.