Le jour de la fête des mères, Koyomi et Hitagi tombent par hasard sur une enfant égarée du nom de Mayoi. Hitagi, qui se sent redevable envers Koyomi après l'affaire de la chimère crabe, décide de lui prêter main-forte pour aider la petite à retrouver le chemin menant au domicile de sa mère. Mais la bienveillance des deux amis pourrait bien leur avoir fait de nouveau franchir la frontière qui sépare leur monde de celui des chimères...
Ce tome 2 reprend la seconde partie du roman et nous faisons la connaissance d'une drôle de jeune fille qui semble ne jamais pouvoir retrouver son chemin. Comme pour Senjougahara, Araragi va vouloir aider Mayoi à rentrer chez elle et une nouvelle fois, il va s'apercevoir que les chimères ne sont jamais loin.
Bon, ayant lu le roman (le tome 1) et l'ayant adoré, j'ai eu une terrible impression de déjà lu/vu ! Et cela m'a déstabilisée pendant quelques minutes. Dans l'aspect général, le manga reste fidèle à l'esprit du roman et j'ai adoré redécouvrir cette partie de l'histoire dessinée d'une main de maître par Oh! Great.
En plus de continuer à suivre Araragi et sa nouvelle amie un peu bizarre et perturbante Senjougahara, j'ai été ravie d'en apprendre plus sur un autre protagoniste féminin : Hanekawa. Je dois vous avouer que je ne suis pas tellement fan de Senjougahara que je trouve agaçante. Elle adore mettre à mal ce pauvre Araragi en lui proposant des choses indécentes. Elle est psychologiquement très perturbée.
Indéniablement, Bakemonogatari est un manga qui surfe plus sur l'aspect psychologique de ses personnages, de leurs démons intérieurs (et chimères) que sur l'action.
Pour ma part, j'adore ! C'est une histoire qui se déguste avec intérêt. Même si je connais, en partie le dénouement avec Mayoi, je suis curieuse de voir ce que ça donnera en manga et puis j'aime vraiment cette adaptation.
Affaire à suivre avec plaisir !