Le départ de cette courte mais spectaculaire randonnée (une trentaine de minutes pour rejoindre la cascade à pied) peut se faire du parking de la Druise situé sur la route menant à Ansage. Après s'être engagé sur la descente caillouteuse (balisage jaune-vert), de préférence équipé de chaussures adaptées et tenant bien aux pieds, le chemin serpente jusqu'à une petite habitation en ruine située à quelques pas de la rivière. Il convient ensuite de prendre à droite pour en remonter le cours. Le sentier se fait plus étroit en se rapprochant du site et peut par endroit, et en fonction du niveau d'eau, nécessiter quelques exercices d'équilibre afin de ne pas se mouiller les pieds. Les efforts sont rapidement récompensés face à la chute haute de 72 mètres produisant un bruit assourdissant, l'une des plus belles du Vercors. La remontée qui présente un fort dénivelé se fait pas le même chemin. Une pause gourmande est conseillée (après réservation) à l'hôtel Restaurant du Moulin de la Pipe, également réputé pour ses soirées-concerts. A peine révélée, l’affaire de Rugy serait déjà enterrée. Alors que les Français sauront mardi s’il y a eu dérapage dans les dépenses publiques – comme si certains en doutaient encore - il semblerait que dès maintenant, l’ancien ministre soit...
Située sur la commune de Châtelus, la grotte du Bournillon qui est aisément atteignable en trente minutes de marche tient ses promesse et affiche fière son porche d'une centaine de mètres de hauteur (parcours de faible dénivelé et exposition du sentier de même limitée). Au départ du parking de la centrale électrique, le calme du chemin ombragé surplombant la rivière éponyme n'est troublé que par les remous de la rivière et de la cascade toutes proches qui deviennent impressionnantes en période de crue (comme ce fut le cas lors de notre randonnée). Une fois la grotte rejointe, les moins sportifs et les familles se contenteront d'apprécier la cavité et éventuellement atteindre la passerelle au fond du porche, prenant toutefois garde à ne pas glisser sur les quelques pierres à franchir. Avec un peu d'attention, l'entrée de la salle aux stalagmites géantes peut-être repérée en arrivant dans la grotte sur la droite, en hauteur. Il est aisé d'atteindre les lieux mais il faut avancer vers le fond de la salle pour en découvrir les spectaculaires concrétions. Le silence est impératif afin de ne pas déranger les nombreuses chauves-souris y ayant élu domicile. C'est muni de puissantes lampes que les plus sportifs tenteront de rejoindre le Village Nègre dont le passage est particulièrement difficile à trouver. L'exploration nécessitera un passage dans le torrent (attention, la montée des eaux peut être soudaine) et plusieurs passages périlleux. À réserver aux spéléologues qui disposeront du matériel adéquat et mesureront les risques encourus.
Après avoir laissé son véhicule sur le parking du refuge de Gardiol sur la D199, s'être équipé d'un chapeau, de lunettes, de crème solaire et de quoi grignoter, direction la "Tête de la Dame" (indiquée par un panneau). Il faut marcher environ 1.5 kilomètre sur une pente douce pour rejoindre la jonction avec le GR93, puis prendre le chemin montant à droite pour passer à proximité du refuge d'Ambel et de son grand abreuvoir en pierre. L'ascension se fait ensuite progressivement dans les sous-bois de la forêt d'Ambel avant de déboucher sur la crête menant au sommet de la "Tête de la Dame" à 1 506 m d'altitude. Rencontre improbable et intemporelle avec un banc de fer de la Croix d'Ambel offrant une vue splendide sur le Roc de Toulau (sur la gauche quand nous y sommes assis) ainsi que sur le Plateau d'Ambel situé juste en face. À noter sur les sentiers menant au sommet : un nombre incalculable de fleurs délicates et colorées : narcisses, orchis sureau de toutes les couleurs (bleues, jaunes, violettes), jonquilles, lamiers pourpres, anémones des bois ainsi que de grandes étendues d'ail des ours à l'ombre des branchages. Les randonneurs sont nombreux à fréquenter cet endroit à la fin du mois de septembre pour y écouter le brame du cerf à la tombée de la nuit.
La commune d'Omblèze située à l'extrême sud du Vercors est connue pour ses gorges et par les adeptes d'escalade. Ayant oublié cordes et baudriers, nous nous sommes contentés de descendre au milieu d'une végétation luxuriante pour remonter le cours de la Gervanne à la recherche de la fameuse chute de la Druise. La quête ne fut pas particulièrement ardue, il suffisait de suivre le grondement sourd de l'eau.
Le départ de cette courte mais spectaculaire randonnée (une trentaine de minutes pour rejoindre la cascade à pied) peut se faire du parking de la Druise situé sur la route menant à Ansage. Après s'être engagé sur la descente caillouteuse (balisage jaune-vert), de préférence équipé de chaussures adaptées et tenant bien aux pieds, le chemin serpente jusqu'à une petite habitation en ruine située à quelques pas de la rivière. Il convient ensuite de prendre à droite pour en remonter le cours. Le sentier se fait plus étroit en se rapprochant du site et peut par endroit, et en fonction du niveau d'eau, nécessiter quelques exercices d'équilibre afin de ne pas se mouiller les pieds. Les efforts sont rapidement récompensés face à la chute haute de 72 mètres produisant un bruit assourdissant, l'une des plus belles du Vercors. La remontée qui présente un fort dénivelé se fait pas le même chemin. Une pause gourmande est conseillée (après réservation) à l'hôtel Restaurant du Moulin de la Pipe, également réputé pour ses soirées-concerts. A peine révélée, l’affaire de Rugy serait déjà enterrée. Alors que les Français sauront mardi s’il y a eu dérapage dans les dépenses publiques – comme si certains en doutaient encore - il semblerait que dès maintenant, l’ancien ministre soit...
Le départ de cette courte mais spectaculaire randonnée (une trentaine de minutes pour rejoindre la cascade à pied) peut se faire du parking de la Druise situé sur la route menant à Ansage. Après s'être engagé sur la descente caillouteuse (balisage jaune-vert), de préférence équipé de chaussures adaptées et tenant bien aux pieds, le chemin serpente jusqu'à une petite habitation en ruine située à quelques pas de la rivière. Il convient ensuite de prendre à droite pour en remonter le cours. Le sentier se fait plus étroit en se rapprochant du site et peut par endroit, et en fonction du niveau d'eau, nécessiter quelques exercices d'équilibre afin de ne pas se mouiller les pieds. Les efforts sont rapidement récompensés face à la chute haute de 72 mètres produisant un bruit assourdissant, l'une des plus belles du Vercors. La remontée qui présente un fort dénivelé se fait pas le même chemin. Une pause gourmande est conseillée (après réservation) à l'hôtel Restaurant du Moulin de la Pipe, également réputé pour ses soirées-concerts. A peine révélée, l’affaire de Rugy serait déjà enterrée. Alors que les Français sauront mardi s’il y a eu dérapage dans les dépenses publiques – comme si certains en doutaient encore - il semblerait que dès maintenant, l’ancien ministre soit...