Il y eut Mac Ier, un Mac Classic avec un disque dur de 2 Mo : je vous parle d’un temps que les moins de trente ans ont du mal à imaginer. Mac Ier avait un ridicule écran en noir et blanc, au bout de deux ans il fut remplacé par Mac II : je passais du cheval de trait à la Ferrari.
Mac II était un LC. Une boîte à pizza avec un moniteur couleurs. Bien. Gonflé autant que possible : la RAM avait atteint 20 Mo. Je vous parle d’un temps que les moins de trente ans ne connaissent que par les foires à la brocante. Je l’ai gardé sept ans, il en a vécu trois de plus ailleurs.
Puis enfin vint Mac III, dit “Le Bouzin”. Au final : 512 Mo de RAM et un disque dur de 60 Go. Internet bien sûr, des applications dans tous les coins. A tellement servi qu’il en a cramé.
D’où Mac IV, un portable cette fois, que je gave plus que je nourris et que j’apprivoise aussi vite que possible. L’activité bloguesque peut donc reprendre à peu près normalement. A demain si vous le voulez bien.