Selon lui, si on a l’impression que les routes sont mal construites au Québec et qu’on n’en a pas pour notre argent, la faute en revient avant tout au gouvernement.
« On fait du palliatif. On étend ça, c’est noir, on en fait long, mais on sait que c’est bon pour deux, trois ans parce que c’est ça qui nous est demandé. L’entrepreneur, c’est lui qui se fait battre, mais c’est un exécutant », dit-il.--- Jean-François Cloutier