- Marco, le jeune guide de montagne, discret mais professionnel,
- Pablo, porteur cuisinier, capable de nous répare un bon repas avec 3 fois rien,
- Jim, un jeune américain en pleine forme qui va faire sa première ascencion,
- Fabricio... ça c'est moi, avec une bonne crève, mais motivé par cette petite montagne au beau milieu des plus beaux sommets de la cordillière blanche.
Une fois de plus le minibus nous dépose à Yungay puis nous poursuivons jusqu'à Cebollapampa, point de départ du chemin qui mène au camp de base du Pisco (5740m) au bout de 2h30 de marche lente.
Quelle débauche de moyens : tente spacieuse, bouffe à volonté, fruits et légumes, et même de la truite pour le diner ! Faudrait pas que je m'habitue à ce confort.
Ça c'est pour les côtés positifs. Alors que le soleil se cache derrière le Huandoy, je suis littéralement secoué par une série de quintes de toux épuisantes. Pour pimenter la chose, au niveau gastrique c'est pas la joie non plus... j'le sens mal le Pisco, j'le sens mal.