Ne t'inquiètes pas pour moi d' Alice Kuipers m'a fait ressortir de vieux souvenirs...Je n'ai écrit que quatre choses pour mon papa défunt. J'avais 15 ans. Le premier écrit est survenu deux mois après son décès, le deuxième un an après, le troisième , deux ou trois années après. Le dernier à mes 20 ans.Je me dévoile dans ce billet. Mais ce n'est pas pour m'apitoyer ou vous faire de la peine ou encore déprimer. C'est juste un écho à ce livre que j'ai adoré et qui m'a fait prendre conscience qu'aujourd'hui j'ai trouvé une certaine sérénité...
Toi qui m'as vu naître et qui m'as tant aimé, pourquoi d'un seul coup tu m'as oublié?Je suis triste sans ton aide et j'ai peur, c'est pour cela que souvent je pleure.Maintenant je suis seule et abandonnée, pouquoi d'un seul coup tu m'as délaissée?Tous ces moments ensemble, c'était plaisant, c'est pour cela que tu me manques tout le temps.Je suis désolée si je t'ai blessé, je t'ai toujours aimé et défendu.Pourquoi tu ne me protèges plus?Je sais je l'ai bien mérité.J'espère qu'un jour tu pourras me pardonner, Toi qui m'as vu naître et qui m'as tant aimé.Je sais qu'un jour tu reviendra parce que je t'ai aimé,et si je t'aime, ce sera pour l'éternité....
C'est comme un sentiment blessant, qui m'envahit quand arrive l'hiver.C'est comme si je revivais, mais en pleurantcette larme qui me fait basculer en enfer.L'espace et le ciel sont si imposant, qu'ils me laissent dans le désespoir.Et voilà le froid et mon coeur si tremblantje suis la proie de la mélancolie, le soir.La nuit est sombre, et, l'amour devient mon ombre.Ainsi je erre, je vois mais tout autour de moi, voilàla vie, la mort, NON, l'hécatombe.Tu me manques, j'ai besoin de toi mais tu n'es plus là. C'est comme un sentiment amer, qui m'envahit quand approche le désarroi.Toi, ta mort si injuste, si irréellela fin de pouvoir être avec toi...
Ta mort coule dans mon corps, et mon esprit ne penses plus qu'à toi.Mon coeur émane cet émoi et si je vis, c'est pour mes souvenirs en or.Ces trésors sont restés autour de moi, dans ce pays natal de mon enfance.Même si je pars, je serais avec toioù que tu sois, où que tu seras, mon roi.Le cerceuil, peut être t'as renfermémais ton coeur et ton âme n'ont pas oubliémon amour et ma peine après toutes ces années.Je sais que tu es là pour me protéger.Et ce temple passé est enterréil n'a pas frappé ma faiblesse et mes pleurs.Tu seras dans mon coeur et l'espoir d'un bonheurquand j'arriverais à accepter la sérénité...
Une étoile naît dans le ciel, la nuit apparaîtelle est sombre mais la lune se complaitdans cette obscurité remplie de mille étincelles.Cette étoile sort de l'ordinaire, elle est celle...Quand on la regarde, la larme coule sur l'âme, les douleurs s'animent et la flammeconsumme le corps mais le coeur, lui, s'asphyxieen respirant cet air d'une vie finie.Cette étoile est comme un symbole, celui de l'espritqui veille sur l'être qui l'attend près de son lit.Cet être pleure quelque fois parce qu'il est seulmais l'étoile n'oublie pas ces peurs.Une étoile disparaît dans le ciel, le jour apparaît.L'être se réveille et le soleil se plaîtdans la lumière si clairemais l'étoile était bien plus belle...