Quand la barrette renaît de ses cendres. Quelques années après que la mode des pinces à cheveux se se soit atténuée, c'est en 2019 voire l'année passée qu'elle refait surface. Aujourd'hui, elle s'impose de plus en plus dans les tiroirs de nombreuses femmes. Et pour cause, ce sont les créateurs de grandes marques qui sont à l'initiative de la renaissance de ce petit bijou. Présentée dans les défilés de mode comme la fashion week ou le défilé de croisière 2020, elle a su conquérir le cœur de plusieurs spécialistes de la mode. Mais attention, ce n'est plus la barrette style simple et classique des années 90 que portent les petites filles, elle est revisitée. En perles, rectangulaires, en écailles et dans encore bien d'autres formes, elle apparaît beaucoup plus moderne qu'autrefois. Ce qui ne change pas pour autant c'est qu'elle se porte toujours sur un seul côté de la tête que sur les deux, à votre convenance. Enfin, vous pouvez la porter en solo ou en accumulation avec des modèles différents.
Depuis quelques mois déjà, beaucoup d'influenceuses et de blogueuses en tout genre sont conquises par le retour de la barrette. En effet, si cet ornement porté, en général, par les petites filles ou à l'occasion tels un mariage ou une soirée, ce n'est plus du tout le cas. Les femmes, elles aussi, optent pour ce style et le porte à tout instant. Notamment Léa Marie, la blogueuse mode (qui se fait aussi nommée Mysweetcactus sur les réseaux sociaux). Ou encore la fille de David Ginola, Carla qui la porte à sa manière. Mais si la barrette est un franc succès en France, elle va même jusqu'à conquérir le cœur des influenceuses Espagnoles, Portugaises et même Suédoises. Du côté des stars hollywoodiennes, l'actrice Ashley Graham, par exemple, s'est montrée au Met gala à New York sous sa plus belle tenue et portait deux barrettes d'une célèbre marque italienne. Aujourd'hui, la barrette s'affirme dans l'univers de la mode en (re)devenant l'accessoire à avoir dans sa garde-robe. Mais pour combien de temps ?
En cette soirée du dimanche 16 juin, les premiers 2.000 jeunes de 16 ans arriveront dans leurs casernes pour participer au Service national universel. Chose dite, chose faite pour le président Macron qui pense peut-être en réalisant cette promesse...