“Vous avez le champ libre” nous a dit le vieux monsieur en nous ouvrant la barrière. Quel bonheur de pouvoir baguenauder dans la prairie au milieu des coquelicots. On se croirait dans un tableau de Monet ! J’aurais dû mettre son canotier à ma fille et prendre une ombrelle.
- Et maintenant nous allons à travers champs avec délices.
- La campagne est devenue notre champ d’action.
- Nous avons pris la clé des champs ce matin, pour une fois que le temps était beau et stable.
- Seule ombre au tableau Alizé parle à tout bout de champ. Chérie j’aimerais bien entendre le chant des oiseaux et le bruit du vent dans les herbes !