Chacun son monde
et les vagues seront bien gardées
Comment reconnaître une histoire maritime?
-Elle ne manque pas de sel.
-C'est la goutte d'eau qui fait déborder la vase.
-Elle fait un tabac.
-Elle vous met le grappin dessus.
-Elle veille au grain.
-Elle vous embarque dans une drôle de galère.
-Elle ne fait pas de quartier.
-Elle a le vent en poupe.
-Elle lève l'ancre ou largue les amarres et met les voiles.
-Elle fait le point.
-Elle promet mer et monde...
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écritures de rue.
Artère vers l'envers
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Toujours accompagné de sa fidèle poule Roxane, Raymond, petit producteur d’œufs bio en Centre Bretagne a un secret bien gardé pour rendre ses poules heureuses : leur déclamer les tirades de Cyrano de Bergerac. Mais face à la pression et aux prix imbattables des grands concurrents industriels, sa petite exploitation est menacée. Il va avoir une idée aussi folle qu’incroyable pour tenter de sauver sa ferme, sa famille et son couple : faire le buzz sur Internet.. Lire la suite sur KuB : https://www.kubweb.media/page/roxane-guillaume-tonquedec-lea-drucker-agriculture-poules-melanie-auffret/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=NL167
Sortie prochaine:
Raymond petit producteur d'oeufs bio en Centre Bretagne admirateur de l'oeuvre d'Edmond Rostantd déclame des tirades de Cyrano à ses poules
Un film de Mélanie Auffret
oeufs sur le plat:
"Sois heureuse ma poule" documentaire de juin 2016 de la même réalisatrice :
découvert chez: KUB -MEDIA
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LOCOMO-locomo
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lu chez: "Les restes du banquet":
"L'homme est bon par paresse et mauvais par ambition."
"C'était quand même mieux avant; après tout animal est triste."
"Laisse une place au vide qui est en toi."
"Tu peux boire au creux de ta main, mais ne cherche pas à te mettre à l’ombre de ton ombre."
Arno
Tronc commun
lu chez: "La Frenière&Poésie"
"Je crois en l’homme, cette ordure,
je crois en l’homme, ce fumier,
ce sable mouvant, cette eau morte ;
je crois en l’homme, ce tordu,
cette vessie de vanité ;
je crois en l’homme, cette pommade,
ce grelot, cette plume au vent,
ce boutefeu, ce fouille-merde ;
je crois en l’homme, ce lèche-sang.
Malgré tout ce qu’il a pu faire
de mortel et d’irréparable,
je crois en lui,
pour la sûreté de sa main,
pour son goût de la liberté,
pour le jeu de sa fantaisie,
pour son vertige devant l’étoile,
je crois en lui
pour le sel de son amitié,
pour l’eau de ses yeux, pour son rire,
pour son élan et ses faiblesses.
Je crois à tout jamais en lui
pour une main qui s’est tendue.
Pour un regard qui s’est offert.
Et puis surtout et avant tout
pour le simple accueil d’un berger."
Lucien Jacques