Le 25 septembre 1962 est sorti le film américain Le Jour le plus Long.
Mon grand père était âgé de 69 ans, mon père de 40 ans et moi-même allait avoir 10 ans le mois suivant.
Ce film retrace les événements du débarquement allié de Normandie pendant la journée du 6 juin 1944. Quand le film est passé à la télévision la première fois, mon grand père, n'ayant pas la télé chez lui, est venu le regarder chez nous. Depuis, j'ai revu ce film plusieurs fois.
Pendant la guerre 39-45, au début de l'occupation, mon grand père s'est engagé dans la résistance active et mon père refusa de se laisser intégrer dans le Service de Travail Obligatoire. Il a alors connu dès 1942 les aléas de la vie clandestine avec de nombreux déplacements entre Cambrai et Landrecies (59 Nord), en utilisant la ligne ferroviaire du Cambresis (entre Cambrai et Catillon). Il a alors adhéré au SOE Britannique (Special Organisation Executive) et devint correspondant radio-amateur. Il collectait des informations à transmettre et recevait des messages à répercuter.
Mon père fut l'un des maillons de ces réseaux qui ont tant aidé à la libération du sol national.
Le 25 septembre 1962 est sorti le film américain Le Jour le plus Long.
Mon grand père était âgé de 69 ans, mon père de 40 ans et moi-même allait avoir 10 ans le mois suivant.
Ce film retrace les événements du débarquement allié de Normandie pendant la journée du 6 juin 1944. Quand le film est passé à la télévision la première fois, mon grand père, n'ayant pas la télé chez lui, est venu le regarder chez nous. Depuis, j'ai revu ce film plusieurs fois.
Pendant la guerre 39-45, au début de l'occupation, mon grand père s'est engagé dans la résistance active et mon père refusa de se laisser intégrer dans le Service de Travail Obligatoire. Il a alors connu dès 1942 les aléas de la vie clandestine avec de nombreux déplacements entre Cambrai et Landrecies (59 Nord), en utilisant la ligne ferroviaire du Cambresis (entre Cambrai et Catillon). Il a alors adhéré au SOE Britannique (Special Organisation Executive) et devint correspondant radio-amateur. Il collectait des informations à transmettre et recevait des messages à répercuter.
Mon père fut l'un des maillons de ces réseaux qui ont tant aidé à la libération du sol national.