j'avais partagé cette émission ce dimanche d'élections européennes en écrivant sur FB
Il y a deux michel natifs d’Agen et espiègles Michel Serres et Michel Fau. En attendant écoutez l’excellente émission : questions politiques de dimanche midi avec Michel Serres. Savais pas que l’individualisme était né avec Saint Paul.... un conseil prenez une petite demi-heure pour l’écouter toute, l’émission.https://www.franceinter.fr/emissions/questions-politiques/questions-politiques-26-mai-2019
Olivier Dassonneville sur FB
Michel Serres, hommage." Et L’on vit l’artiste, incliné d’humilité, s’avancer à petits pas vers le tableau, s’avancer, s’avancer près de lui jusqu’à le toucher… pour, soudain, entrer dans le petit réduit et y disparaître, comme happé par ce puits d’attraction. Nul jamais ne le revit ".
Michel Serres, Yeux.
Dieu habite Düsseldorf Je ne suis pas tout à fait d’accord avec cette critique (en bas de Télérama) j’ai écrit spontanément après l’avoir vu nous étions 4 tous très contents ; je trouve à ce texte des valeurs d’anticipation, la normalisation la délation l’importance des objets connectés à quoi???Et les acteurs n’ont pas un jeu caricatural et sont touchants sincères et font mouche...
Critique laissée sur le site de Billet Reduc Quelle soirée !
Quels acteurs qui donnent à ce texte ces sketches une dimension un humour burlesque qui nous relève, redonne l'envie de nous débattre avec toutes les étiquettes les préjugés. Les acteurs metteurs en scène de leur spectacle sont tellement présents au Paradis du Lucernaire qu'on ne peut pas arrêter de les applaudir pour que cela ne s'arrête jamais.....Il y a un " Aïe !!! " inoubliable
Critique de Télérama TT
Jusqu'au 8 juin 2019 - Lucernaire
De comédie toxique en satire poivrée, on savait que Sébastien Thiery avait la plume méchante. Dans cette pièce à sketchs rosses de 2004, il aligne les incapables et les ratés de tout poil, se moque des imbéciles en tout genre, fait leur sort aux ringards esseulés, dominés, maltraités, sans amis, amant(e)s ou parents. Des minables abandonnés de tous, à qui il ne porte aucune tendresse mais qu'il s’acharne à massacrer plus encore. Et c’est l’hallucinante cruauté de Sébastien Thiery qui fascine autant qu’elle fait rire. Aucune compassion pour ces deux pauvres types qu’incarnent et mettent en scène avec verve et gourmandise Eric Verdin et Renaud Danner. Thiery nous renvoie avec ironie à nos perversités cachées…