D’importants bouchons se voient sur les axes routiers. Des murs sont érigés à certains endroits, isolant les marchés des routes. Mais les embouteillages persistent. Que faut-il faire pour résoudre le problème?
Le directeur national de la sécurité routière accuse les ordures. "A certains endroits, d’ailleurs partout dans Conakry, il y a des tas d’immondices qui empêchent la libre circulation des usagers de la route", a déclaré Zakaria Camara vendredi 17 mai chez nos confrères d’Espace fm.
Pourtant ces tas d’immondices sont moins visibles à Kaloum, le centre-ville. Mais les embouteillages demeurent.
Face aux conducteurs indisciplinés. "Notre autorité a déployé presque tous le policiers de Conakry. Les Commissariats centraux, les Compagnies mobiles d’intervention et de sécurité, viennent s’ajouter à la police routière pour empêcher ceux qui ne respectent pas les files des véhicules", dit-il.
Contre les encombrants physiques le long des axes routiers. "Nous avons des grues. On les (encombrants) dépose à la fourrière… Mais on n’a pas de grues pour les gros porteurs"i, ajoute-t-il. Pour ces derniers, i["on a instruit aux commissariats centraux de les dégager avec l’appui des syndicats du port qui peuvent nous trouver des machines en cas de panne (des encombrants, ndlr)", poursuit-il.
Ces mesures d’urgences demeureront après le ramadan, rassure le directeur de la sécurité routière.
Dans le passé, des mesures avaient été prises, mais en vain.
Elle n’est pas forcément là où l’attendaient certains. Les premiers résultats des élections européennes tombent peu à peu pour ceux qui ont évidemment commencé à voter dès ce vendredi... ...Et les vainqueurs sont… les Travaillistes! Enfin, les...