La conférence qui devait initialement se tenir à Grenoble a finalement eu lieu à Seyssins sur un terrain privé situé en contrebas de la clinique du Dauphiné. De l'aveu même de Soral cette conférence a été déplacée à l'extérieur de Grenoble suite aux pressions exercées par " un avocat de la LICRA tunisien ", " les antifas luttant contre l'invasion fasciste " et " un adjoint au maire ". Ce dernier, Emmanuel Carroz, ayant par la suite subit des menaces directes (1).
Le Cric fait référence à ceci ;
Emmanuel Carroz s'était exprimé à propos de la venue dans la capitale des Alpes de l'essayiste d'extrême droite et du polémiste plusieurs fois condamné pour ses propos antisémites.
" Il a reçu aujourd'hui, à la mairie, un courrier anonyme contenant des excréments " affirment Anne-Sophie Olmos et Alan Confesson, coprésident-es du groupe RCGE.
" Oui, Grenoble est une ville qui s'ancre dans une tradition d'accueil, de tolérance, de résistance qui sont incompatibles avec les discours de haine, notamment distillés par Soral et Dieudonné. Pour ces raisons, nous maintenons qu'ils ne sont pas les bienvenus dans cette ville "J'ai souhaité d'autant plus ardemment partager cet article du Cric qu'il nous fait part de l'information suivante, qui démontre sans ambiguïté que les milieux fascistes utilisent de plus en plus la technique de la taupe (que j'ai signalée à propos de Vincent Lapierre (lui-aussi proche de Soral et de ses idées antisémites), pour infiltrer nos
mobilisations et diffuser des informations personnelles auprès de leurs amis fachos afin de nous discréditer ou/et de nous mettre en danger. Aussi, il me semblait nécessaire de lancer cet appel à témoins :
Ce prétendu journaliste, c'est lui :
Si vous le connaissez, merci d'utiliser le formulaire de contact ci-après, même anonymement (dans la rubrique " Nom ", écrire par exemple : Mr A. Nonyme) , et je transmettrai au Cric. Merci.