Quatrième de couverture :
L’horreur ! A l’état pu ! Deux adolescents menottés à des rails. Leurs yeux grands ouverts, leurs bouches qui hurlent, les phares du train qui approche dans un grondement assourdissant et les roues qui s’immobilisent cent mètres trop loin…
Suicide ? Le Poulpe n’y croit pas. Il veut y voir de plus près… Comprendre aussi qui sont ces types qui l’attendent en ricanant pour le balancer du haut d’une falaise.
Ah, la bonne société de Dieppe ! Ses fermes cossues, son honorabilité… De quoi donner quelques démangeaisons au Poulpe ! Et une sérieuse envie d’aller tataner la gueule des indélicats.
Mon avis :
Ha, le Poulpe, la fameux Poulpe… Je me régale à chaque fois que je retrouve Gabriel Lecouvreur et ses aventures, toujours rocambolesques, jamais soporifiques. Le présent roman est le premier opus de cette série fleuve et tout ce qui fait le charme et le succès du Poulpe est déjà présent. Un vrai régal à chaque fois…