Ne laisse aucune ombre de regret t’assombrir,
Aucune peine absurde obscurcir tes jours.
Ne renonce jamais aux chants d’amour, aux prairies, aux baisers,
Jusqu’à ce que ton argile se fonde dans une plus ancienne.
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Omar Khayyâm (1048-1131) – Rubaiyat (Quatrains)