éditeur : éditions Pygmalion date de parution : 27 mars 2019399 pages prix : 14.90 €
Vivre, quand on a seize ans, au sein d'un clan de sorcières sociopathes n'est pas facile tous les jours, moi, je vous le dis.J'ai une affection particulière depuis toujours pour l'urban fantasy et j'avoue que la légère recrudescence de ce style me plait beaucoup . C'est pourquoi quand il m'a été donné l'occasion de lire cette nouvelle saga , je n'ai pas hésite . Je ressors convaincue de ma découverte. On retrouve donc ici la fille de Rebecca Kean , l'héroïne de la saga dont est issu l'univers de cette nouvelle saga. Leonora est une particularité. Cette jeune femme a un peu de mal à se trouver une place dans l'univers des puissants proches qui l'entoure. De plus elle n'appartient pas vraiment à une communauté puisque issue d'origines très différentes. J'ai beaucoup aimé cette jeune femme courageuse, entêtée, intelligente et réfléchie. Consciente de son statut particulier et de ses pouvoirs qu'il vaut mieux garder secret. Elle possède un protecteur et un allié précieux. Ariel est un ombre, un sorcier aux pouvoirs importants, dangereux et plein d'humour. J'ai beaucoup aimé ce personnage solide et craquant . Leur duo est croustillant où l'attirance et les sentiments se mêlent à une confiance énorme et une amitié vitale . J'ai beaucoup aimé assisté à l'évolution de leur relation qui se complexifie au fil des pages. L'intrigue est prenante et elle permet de recadrer l'univers de cette saga qui s'avère riche et complexe. Le dénouement est comme il se doit mais aussi prometteur pour la suite . En bref : Un très bon premier tome . Le challenge n'était pas forcément aisé car la maman de notre héroïne a déjà mis la barre très haut. Pari relevé pour Leonora qui nous entraine dans une aventure pétillante, sombre et captivante. Son duo avec Ariel est croustillant à souhait. J'ai déjà hête de lire le prochain tome !NOTE : 8.5 / 10Suivez toute l'actualité des éditions Pygmalion
Entre les cours de sortilèges, de potions et de magie élémentaire des Vikaris, je suis au bout du rouleau.
Alors, si en plus, on commence à ramasser les cadavres dans tous les coins, je sens que je ne vais pas tarder à provoquer un massacre.
Parce qu'on peut dire ce qu'on veut : la patience, chez nous, n'est décidément pas un trait de famille...
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