Extraits de sa déclaration du jour :
"Je dénonce l'intolérable épreuve infligée à tous les Français et à nos forces armées républicaines contraintes de défiler devant la présence inadmissible de Bachar al-Assad, présent à la tribune officielle du 14 juillet, jour de fête pour les libertés républicaines (...)
Après la visite de Kadhafi, un autre dictateur retrouve ainsi une crédibilité internationale sans aucune contre-partie: ni regret pour les soldats français massacrés au Drakkar, ni Tribunal international pour l'assassinat de Rafic Hariri, ni reconnaissance de la souveraineté du Liban (...)
Je suis convaincue que ni le Général de Gaulle, ni François Mitterrand, ni Jacques Chirac n'auraient laissé la France payer ce prix d'une mise en scène humiliante".