Je t'ai vue, doux fantôme, marcher entre les herbes folles.Je t'ai vue, emprunter le sentier bordé d'églantiers.Tu marchais, si fière sous ton solaire diadème.***Pas le temps d'un soupir, d'un sourire, juste celui de vivre, ou de survivre.Les grands
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Le dernier commentaire :
Face au monde guerrier et son oppression monétaire ne survit que le rêve du poète. Amitiés xavier.