La question qui se pose alors est la suivante: « Comment tirer le meilleur parti d'un élément aussi fugace ? »
La réponse évidente est de savoir ce que nous voulons (encore) faire. Cela dit, la difficulté réside aussi bien dans nos besoins que dans nos besoins décroissants au fur et à mesure qu'en vieillissant nous passons d'une mentalité de croissance ou de construction, à un mode de survie.
Du fait de ces réalités changeantes, le défi consiste à identifier ce qui nous reste de suffisamment important à accomplir dans le temps qui nous est impartit, et ce qui nous laissera la plus grande satisfaction lorsque nous arriverons au terme de notre existence.
Une myriade d'options dans un laps de temps qui n'en fini pas de rétrécir !